Vous découvrez les joies des playgrounds mais les expressions pleuvent comme des airballs et vous vous retrouvez dépassé tel un pivot lors d’un coast to coast ? Nous vous proposons un tour d’horizon des expressions les plus prisées de ce sport américain et leurs équivalences en français. Stratégie, règlement, actions : faites votre choix !
Un des 5 postes classiques du basket et un des plus complets. Polyvalence en défense, aide au rebond et responsabilité en attaque sont vos maîtres-mots. A l’aise de loin comme en pénétration, vous pouvez aussi, si votre dextérité vous le permet, vous occuper de la gestion du jeu et profiter de votre taille pour jouer ailier-meneur.
Plus mobile que le pivot avec qui vous constituez le secteur intérieur, vous devez vous occuper en priorité du rebond et du jeu dans la raquette, en attaque comme en défense. A la différence de votre acolyte dans la peinture, vous attaquez davantage face au panier (Poste haut). De plus en plus, les ailiers forts ajoutent à leur palette offensive le tir à 3 points.
Si vous jouez arrière scoreur, vous faîtes partie des extérieurs. Rapide, habile, vous êtes là pour marquer et faire marquer. Artiste du jeu en pénétration ou du 3 points avec de grosses responsabilités en attaque, athlétique et spécialiste de l’interception en défense, vous devez aussi épauler votre meneur de jeu dans la création et l’organisation.
Si vous aimez passer, créer et organiser, ce poste est fait pour vous. La gestion de la balle, du rythme et de la tactique sont les priorités de ce poste qui constitue avec l’arrière et l’ailier les extérieurs. Généralement le plus petit gabarit sur le terrain, votre entente avec le pivot dans l’axe de la raquette est primordiale. Vision du jeu et responsabilités sont pour vous une seconde nature.
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Le pivot est souvent le plus grand gabarit de l’équipe et le plus proche du cercle. Véritable plaque tournante, vous savez jouer dos au panier (Poste bas). Spécialiste du rebond et du contre, votre rôle est de protéger le cercle. Si vous aimez faire un chantier dans la raquette et diriger la défense, vous pouvez montrer aux adeptes du small ball que ce poste historique a encore de beaux jours devant lui.
Si votre tir ne touche ni l’arceau ni même la planche, vous venez de réaliser un airball… à défaut du score, c’est votre ego qui prend un coup.
Pour réaliser ce geste, vous devez passer la balle en hauteur à un partenaire qui la récupère en l’air et dunke dans le même saut. Si vous connaissez plus spectaculaire, on vous écoute.
Elle correspond à l’action de prendre un rebond offensif et tirer ou dunker dans la même action. Votre équipe va adorer votre sens du timing, le coach adverse aussi...
Il s’agit ici de prendre un rebond, remonter la balle et marquer en contre attaque par vous-même. Pas l’action la plus collective certes, mais efficace si vous avez les jambes pour marquer vite.
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Geste défensif spectaculaire et dissuasif, vous contrez le tir de votre adversaire en détournant avec la main le ballon en phase ascendante. Une seconde nature si vous jouez à l’intérieur.
Le cross-over ou dribble croisé consiste à changer de direction ou de main lors de votre dribble pour déstabiliser votre adversaire, qui défend en reculant.
C’est un des gestes de base pour marquer. Vous prenez deux appuis en fin de course pour vous rapprocher du panier avant de tirer à une main.
Pour vous déplacer avec le ballon, vous devez le faire rebondir sur le sol à une main. Si vous arrêtez votre dribble, vous devez passer la balle ou tirer.
La pénétration en français, consiste à utiliser votre vitesse pour rentrer dans la raquette afin de marquer ou attirer la défense avant de passer la balle.
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Vous réalisez ce geste spectaculaire, symbole même du basket, lorsque vous vous accrochez à l’arceau quand vous marquez. Nous vous rappelons que l’arceau en question est à 3,05 mètres du sol...
Il désigne un type de remise en jeu, notamment pour débuter le match. Un membre de chaque équipe se place dans le rond central et doit dévier la balle lancée en l’air par l’arbitre.
L’extra-passe consiste à offrir une passe décisive à votre partenaire encore mieux placé·e que vous pour marquer. C’est l’aboutissement du collectif et du jeu de mouvement.
Pour réaliser une interception, vous devez voler le ballon à votre adversaire lors d’une passe ou d’un dribble.
Il s’agit d’une passe où vous faites rebondir le ballon à terre. Pratique pour trouver vos partenaires au milieu des défenses.
Elle désigne une passe qui amène un panier facile d’un·e partenaire. C’est le symbole du jeu collectif et la spécialité des meneurs de jeu.
Si vous êtes sur vos appuis lorsque l’attaquant vous percute, vous provoquez un passage en force et récupérez le ballon.
Vous prenez un rebond lorsque vous saisissez le ballon après un tir raté.
Elle définit la période pendant laquelle vous contrôlez le ballon et elle est rythmée par les 24 secondes de l’horloge de possession. La finalité d’une attaque est donc de marquer un panier.
Si l’équipe adverse a commis 5 fautes ou plus dans le quart-temps, vous êtes dans le bonus. Vous bénéficiez donc de deux lancers-francs à chaque faute. Le but est de valoriser l’attaque.
Le buzzer désigne le son cruel du chronomètre qui s’arrête en fin de possession ou de quart-temps.
Encore plus cruel pour vos adversaires, le buzzer beater désigne un tir réussi juste avant la sonnerie fatidique.
Il désigne les 5 joueurs ou joueuses qui débutent le match. Si vous en êtes, montrez l’exemple, sinon, la concentration est de mise. Il est encore plus important de terminer les matchs que de les commencer.
Vous défendez une zone plutôt qu’un joueur. Le but est d’empêcher les passes et les pénétrations, mais attention aux tirs de loin !
C’est la défense de base, la plus utilisée en basket. Vous défendez sur votre adversaire direct, poste par poste.
Les contacts sur le porteur du ballon sont sanctionnés d’une faute. Au bout de 5 fautes, vous retournez soutenir vos partenaires depuis le banc jusqu’à la fin du match.
En cas de désaccord avec l’arbitre, vous pouvez lui donner votre avis, mais vous allez surtout récupérer une faute technique, synonyme de lancer franc pour l’équipe adverse.
Lors d’une faute sur un tir ou après 5 fautes d’équipe, vous bénéficiez d’un ou plusieurs lancers. Chaque tir réussi vaut un point.
Balle en main, vous avez le droit à deux appuis sans dribbler : soit un double pas, soit un saut à deux pieds.
Véritable poison du jeu d’attaque, elle désigne aussi bien les interceptions subies que les marchers, reprises de dribble, fin de l’horloge, fautes offensives. Elle offre souvent des contre-attaques faciles.
Si vous réussissez votre panier malgré une faute de l’adversaire, vous bénéficiez d’un lancer franc supplémentaire.
Vous ne pouvez pas reprendre votre dribble après l’avoir arrêté. Sans quoi c’est une perte de balle et une perte d’estime du coach envers vous.
Souvent suivi d’un retour sur le banc des remplaçants, le retour en zone désigne le fait de retourner avec le ballon dans sa moitié de terrain une fois la ligne médiane franchie.
Le changement entre un titulaire et un remplaçant est illimité et possible à chaque arrêt de jeu. Donc si vous êtes sur le banc de touche : concentration et solidarité !
Vous ou votre coach pouvez le demander lorsque vous avez la balle. Vous bénéficiez alors de 20 ou 60 sec pour souffler ou vous prendre une soufflante, selon le score.
En cas de rebond offensif ou de remise en jeu après une faute, vous bénéficiez à nouveau de 14 secondes de possession.
Les 24 secondes désignent la durée que vous avez pour marquer ou toucher l’arceau lorsque vous possédez le ballon. Vous devez donc créer du jeu à chaque possession.
Les 3 secondes correspondent au temps que vous pouvez passer dans la raquette. Au delà de cette durée, vous perdez la possession de la balle ou vous donnez un lancer-franc à l’équipe qui attaque.
C’est le temps que vous avez pour passer la balle lors d’une remise en jeu ou lorsque votre défenseur vous force à l’arrêt. Vous allez devoir prendre soin du ballon dans les moments cruciaux !
C’est la durée dont vous disposez pour remonter la balle hors de votre moitié de terrain. Simple en début de match, mais intense lorsque la défense décide de vous mettre sous pression !
C’est le surnom de la ligne à 3 points, au delà de laquelle les tirs valent 3 points au lieu de 2. Votre réussite aux tirs primés étire les défenses et soulage votre attaque.
L’arceau est le cercle de métal que votre ballon doit traverser pour que votre tir soit réussi. A une hauteur de 3,05 mètres, vous pouvez choisir entre l’adresse de loin ou de près selon votre taille.
Aussi surnommée le cuir ou la gonfle, votre balle orange se dribble, se passe, se tire, s’intercepte, rebondit et vous suit partout.
Le panier est constitué de la planche et de l’arceau dans lequel vous tirez. Par extension, c’est aussi le nom d’un tir réussi.
Domaine des intérieurs, la raquette est le rectangle de peinture sous le panier. Vous y trouvez la ligne des lancers-francs, des arrières férus du jeu en pénétration et des pivots prêts à les contrer.
En parquet dans les gymnases ou en goudron sur les playgrounds extérieurs, cette surface de 29 mètres sur 15 avec un panier à chaque extrémité est le cadre de votre passion.
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