Le basket est un sport en constante évolution. Devant Limoges, Le Mans a fait parler la poudre en attaque avec 102 points marqués. L’occasion de décrypter les différents tirs du basket. Définitions, anecdotes, spécialistes. Stephen Curry, LeBron James et même le jeune LaMelo Ball nous l’ont récemment prouvé.
Au basket, ce sont dix joueurs qui occupent le terrain, donc cinq par équipe. Un terrain de jeu, deux équipes, deux paniers et un ballon - le match peut commencer. Chaque équipe a le droit d'avoir jusqu'à sept remplaçants qui peuvent être envoyés sur le terrain autant de fois que nécessaire.
Le but du jeu est simple : lancer le ballon dans le panier de l'équipe adverse, panier placé à 3,05 m de haut au bord de la ligne la moins longue délimitant le terrain. Un lancer-franc rapporte un point, un tir normal deux points. Si joueur qui lance le ballon se situe derrière la ligne des trois points, le panier rapporte trois points.
Un match de la FIBA se compose de quatre périodes : les quarts-temps. Chaque période dure 10 minutes, en NBA un quart-temps dure douze minutes. En cas d'égalité à l'issu du temps règlementaire, des prolongations de cinq minutes chacune sont jouées jusqu'à ce qu'une des deux équipes sorte vainqueur.
Dans le domaine du basket on retient quatre sortes de fautes différentes :
Lire aussi: Immersion NBA 2K23
Un défenseur ne peut essayer de repousser un attaquant que dans une certaine mesure. Retenir, bloquer, pousser, charger, faire un croche-pied ou bien bloquer en tendant les bras, les coudes ou les jambes, tout cela est interdit. Un attaquant en possession du ballon commet une faute s'il rentre en contact avec un défenseur se trouvant dans une prosition de défense légale ou qui recule.
Suite à une faute disqualifiante ou deux fautes anti-sportives, le joueur est exclu du match et doit quitter la salle et attendre la fin du match dans les vestiaires. Après cinq fautes personnelles ou techniques, le joueur est exclu du match en cours.
Le basketball est une discipline variée et se caractérise par son jeu rapide. Un chronomètre affiche le décompte des 24 secondes, temps maximal autorisé pour une action offensive. Le chronomètre est activé à chaque nouvelle possession de ballon par une équipe.
Lors d'une offensive les arrières ne peuvent rester que trois secondes au maximum dans la moitié de terrain adverse. Peu importe qu'ils soient en possession du ballon ou non. Lors d'une remise en jeu, un joueur ne peut tenir le ballon que pendant cinq secondes au maximum.
Pendant le jeu, si un joueur est étroitement marqué, il doit dribbler, passer ou lancer un panier dans les cinq secondes. En cas de violation de cette règle, l'équipe adverse obtient un lancer-franc. Après un dribble le joueur en possession du ballon n'est autorisé à avoir que deux appuis au sol. Après cela, il est obligé de passer ou tirer au panier.
Tout contact du ballon avec le pied, le genou ou la jambe est considéré comme une faute. Les sanctions sont différentes si la faute est commise par un attaquant ou un défenseur : Si un défenseur touche le ballon du pied et plus de dix secondes se sont écoulées depuis le début de l'attaque, le chronomètre des tirs est remis à 14 secondes. Si un attaquant reprend le ballon après un dribble, il ne peut pas recommencer à dribbler.
Un ballon lancé en direction du panier ne peut être contré que si il se trouve en phase ascendante. Vous avez désormais acquis les connaissances de bases nécessaires et pouvez vous lancer - peu importe si vous dribblez sur le terrain ou préférez prendre place dans les tribunes.
Le fait d’envoyer la balle en l’air pour la rattraper et la mettre dans le panier, très souvent par un dunk, sans reprendre appui au sol. Une action spectaculaire qui nécessite une excellente synchronisation entre le passeur et le dunkeur. Réalisé pour la première fois aux JO de 1936, le slam dunk, plus couramment appelé dunk, consiste à marquer en projetant le ballon dans l’arceau, à une ou deux mains. Le public en raffole. Par sa détente phénoménale, DJ Stephens est LE maître absolu dans ce domaine. Un geste tout de suite plus abordable quand on fait 2 m de haut.
En anglais : hook shot. Généralement de profil par rapport au panier, l’attaquant effectue un mouvement en forme d’arc avec son bras et envoie la balle à une seule main, l’autre bras écartant son défenseur le plus proche. Magic Johnson l’avait élevé au rang d’art.
Littéralement « attraper et tirer ». Un tir pris en première intention après une passe, à plus de 6 m du panier, sans avoir effectué aucun dribble. Conclusions rapides de pré-saison:Tim HardawayJr a évolué légèrement et penche vers un jeu plus intelligent et proche de ce qu'on voyait à Atlanta et c'est tant mieux pour nous.Moins de gri-gri, plus de catch-and-shoot et simples pénétrations.
Il s’agit d’un tir effectué lors d’un saut vers l’arrière, en reculant. Il faut des abdos en titane et une bonne gestion de l’espace pour ne pas tirer trop court. Michael Jordan a démocratisé ce mouvement qui a, pour objectif, de créer un espace entre le tireur et le défenseur. Un tir difficile à contrer. A l’inverse, le tireur a moins de chance d’attraper son propre rebond.
Un petit tir dans la zone intermédiaire que l’on prend en relâchant légèrement la balle en arc de cercle, en cloche. Cocorico.
Il sert à réparer une faute de l’adversaire pendant un tir, sur antisportive, faute technique, ou lorsque le total des cinq fautes d’équipe est atteint. Le tir est effectué depuis la ligne, en haut de la raquette, sans opposition. Chaque lancer vaut un point. L’histoire s’est nourri de quelques supersticieux. Gilbert Arenas faisait tourner le ballon trois fois derrière son dos avant de tirer. Jeff Hornacek caressait sa joue droite à trois reprises avant chaque tentative. Quant à Steve Nash, il léchait ses doigts, remettait ses cheveux en arrière, simulait le geste sans ballon, effectuait trois rebonds et prenait une grande inspiration.
Venant de l’anglais lay (poser) et up (monter), le lay-up désigne le fait d’aller au panier sur un double pas et de poser la balle, avec ou sans la planche, dans le cercle sans dunker. D’accord c’est moins spectaculaire q’une dunk mais ça vaut 2 points pareil ! Un lay-up (ou double-pas en Français) au basket-ball est un tir à courte distance effectué par un joueur qui se déplace vers le panier.
Les lay-ups sont considérés comme le tir le plus basique du jeu, car ils sont effectués si près du panier et sont relativement faciles à réaliser. Les tirs deviennent de plus en plus difficiles au fur et à mesure que l’on s’éloigne jusqu’à tirer à 3 points. Donc être à proximité du panier pour un lay-up signifie qu'il devrait être plus facile à réaliser qu'un tir longue distance.
Un joueur qui effectue un layup a également l'avantage de pouvoir utiliser la planche pour l'aider à faire entrer le ballon dans le cercle. Le moyen le plus sûr de faire un layup est d'utiliser le panneau, il est là pour ça ! Essayez de frapper le haut de la petite boîte blanche qui entoure l'anneau dans un angle. Avec la puissance parfaite derrière, un layup qui touche ce sport devrait rentrer à chaque fois.
Dès que vous en avez l’opportunité dans le jeu. Puisqu'ils sont si simples à réaliser, les layups sont très couramment utilisés dans tous les matchs de basket. Si vous recevez le ballon près du panier et qu'il n'y a personne devant vous pour bloquer votre tir, c'est le moment idéal. Il en va de même pour les échappées, un couloir ouvert lorsque vous vous dirigez vers le panier, ou les passes en retrait.
Bien qu’il s’agisse d’une action lambda il faut la répéter encore et encore. Les joueurs confirmés sont en capacité de tirer des 2 mains. Main gauche à gauche et main droite à droite pour se protéger et éviter de se faire contrer. Au niveau des appuis on pose le pied droit en premier si on est à droite et on fait enchaîne appui droit puis gauche et tir main droite. Pour un lay-up, vous courez vers un côté du panier, vous sautez et vous posez le ballon sur le panneau dans le panier. Si l’on tire en passant sous le cercle en tirant de l’autre côté, il ne s’agit plus d’un layup mais d’un lay-back.
Accompagnées d'un tir en course globalement maîtrisé, aussi bien à droite qu'à gauche et que le joueur dispose d'une bonne maîtrise des appuis, l'amélioration des lâcher de balle et de leurs variations peut être envisagée. Ensuite, ce sera aux joueurs d'apprendre à gérer eux-mêmes, cette disponibilité en situation d'opposition.
Tir réussi à longue distance, derrière la ligne des 6,75 m (7,23 m en NBA) et valant trois points. Variante extrême : le Downtown shot (tir depuis le centre-ville) ou tir du parking désignant un tir très, très longue portée, largement derrière la ligne à 3 pts. La crème des tireurs d’élite ?
Un tir direct réussi sans toucher ni l’arceau, ni la planche. Swish est une onomatopée, proche du son de la balle traversant le filet.
Le tir est l'une des compétences les plus importantes dans le basket, et il est crucial de bien le maîtriser pour réussir sur le terrain. Pour tirer efficacement au basket, il y a certaines techniques et astuces que tu peux utiliser pour améliorer ta précision et ta consistance.
La technique de tir est l'élément clé pour bien shooter au basket. Il est important de maintenir une posture stable et de bien tenir le ballon pour avoir un contrôle optimal sur le tir. Pour avoir une prise en main efficace sur le ballon, utilise tes doigts plutôt que la paume de ta main. Le mouvement de tir doit se faire en deux temps : la préparation et le lancement. Lors de la préparation, tiens le ballon avec une main derrière et une main devant, les doigts espacés et légèrement courbés. Tu peux lever le ballon au-dessus de ta tête et aligner ton bras avec le panier.
Pour bien shooter au basket, il est crucial d'avoir une bonne visée. Tu dois viser le centre du panier et suivre la trajectoire du ballon tout au long du mouvement de tir. Il est également important de garder les yeux fixés sur le panier pendant tout le mouvement de tir. La force et l'endurance sont des éléments clés pour bien shooter au basket. Tu peux travailler sur ta force et ton endurance en faisant des exercices de musculation réguliers tels que des squats, des fentes, des pompes, et des tractions.
Il y a certaines erreurs courantes que tu devrais éviter lorsque tu shoots au basket. La première erreur est de pencher tes épaules vers l'avant pendant le mouvement de tir. La deuxième erreur est de ne pas maintenir une position stable pendant tout le mouvement de tir. La troisième erreur est de relâcher le ballon trop tôt ou trop tard. Si tu relâches le ballon trop tôt, il peut manquer de force et ne pas atteindre le panier. Enfin, la quatrième erreur est de ne pas suivre la trajectoire du ballon tout au long du mouvement de tir. La pratique est la clé pour bien shooter au basket. Plus tu pratiques, plus tu gagnes en confiance et en coordination. La pratique régulière te permettra d'améliorer ta technique de tir et d'augmenter ton taux de réussite.
Alors qu’il ne reste que quelques secondes à jouer, une faute est sifflée sur une des stars des Warriors. Ça sera deux lancers francs. Cependant, bien avant Curry, il y a eu un précurseur dans les rangs des Warriors. Il s’appelait Rick Barry et il est encore, à ce jour, un des meilleurs tireurs de lancers francs de tous les temps. Sa carrière a été marquée par un petit détail iconique : sa manière singulière de tirer les lancers francs.
« Est-il préférable de tirer en dessous ou au-dessus des épaules, s’interrogeait Red Auerbach dans un reportage diffusé sur NBA TV. La réponse est simple : faites ce qui vous convient le mieux. L’important est de mettre la balle dans le panier ».
Des mecs comme Wilt Chamberlain, Chuck Hayes, Shaquille O’Neal et aujourd’hui DeAndre Jordan ou Andre Drummond n’ont jamais résolu leurs soucis aux lancers francs en optant pour la formule ”à la cuillère”. Seul l’homme aux 100 points a essayé cette technique à quelques reprises.
« C’est la seule partie du jeu qui est totalement cohérente, estimait Barry sur SB Nation. C’est toujours la même distance (4,60 mètres, ndlr) et les mêmes repères. Jusqu’aux années 50, le tir à la cuillère était la méthode la plus efficace pour atteindre un objectif : marquer facilement des points. La bienséance veut que le fouetté du poignet soit le geste le plus efficace pour shooter. Cependant, lorsque vous regardez Dwight Howard ou DeAndré Jordan tirer un lancer franc vous vous dites que ce n’est pas une méthode qui convient à tout le monde, surtout pas aux big men.
Rick Barry a proposé ses services à plusieurs joueurs actuels. « Si LeBron me le demande, je lui apprendrais comment faire, explique le deuxième choix de la draft 1965. Je me demande comment on peut vivre si on n’est pas capable de rentrer quatre lancers francs sur cinq. Comment ces mecs-là peuvent-ils dormir sans faire de cauchemars en sachant qu’ils sont incapables de tirer à 80% ? ».
En 2012, Barry a même conseillé à Dwight Howard, alors à Orlando, de suivre sa méthode. « Il est candidat pour les tirer à la cuillère, a-t-il expliqué à la chaîne FoxSports. C’est fou que quelqu’un qui tire aussi mal ses lancers ne saisisse pas l’opportunité de s’améliorer. Quand vous êtes aux lancers, c’est toujours la même chose. La même distance et personne pour défendre sur vous. Howard doit vraiment le faire [shooter à la cuillère]. Je l’ai regardé s’entraîner un jour et il a juste une mauvaise technique. Et on lui redonne la balle.
LeBron James et Dwight Howard ont dû apprécier ces remarques venant d’un Barry qui n’était pas apprécié lorsqu’il était joueur. « Vous ne trouverez pas un groupe de joueurs qui parlent de bons moments passées avec Rick », a confessé Ken Macker, le vice-président des Warriors de l’époque, dans un livre de Bill Simmons intitulé The Book of Basketball. Et cette (mauvaise) réputation a un peu terni les performances de Barry au cours de ses quatorze années de carrière.
En plus d’être l’auteur d’un shoot en voie de disparition, Rick Barry légua au basket cinq enfants qui ont maintenu en vie ce prestigieux nom de famille. « Je pense que c’est une manière de montrer du respect envers mon père et, pour être honnête, d’être également meilleur sur la ligne des lancers francs », a commenté Canyon, aujourd’hui joueur des Florida Gators en NCAA.
Mais en NBA, peu de joueurs shootent leurs lancers francs à la cuillère. « Moi non plus je ne comprends pas pourquoi ils n’essaient pas de faire comme moi, a un jour commenté Rick Barry. C’est gênant. Quand j’étais jeune mon père m’a dit d’essayer et j’ai répondu : “Papa, ce sont les filles qui shootent comme ça !”. Les filles ne shootent plus comme ça aujourd’hui. Pourquoi ne pas vouloir essayer tout ce qui pourrait vous aider à vous améliorer dans ce que vous faites ? ».
Et pourtant le lancer franc à la cuillère de Rick Barry pourrait sauver les pourcentages de nombreux joueurs de la ligue nord-américaine. On pense à Andre Drummond qui tourne cette saison à 44, 4% de moyenne derrière la ligne ou encore a DeAndre Jordan qui culmine à 53 %.
Le double pas basket ou tir en course est la lettre A de l’alphabet du basket. Tout le monde le connait, il est abordé très rapidement chez les débutants et constitue la rampe de lancement du joueur dans la formation. Je fais volontairement un amalgame car il est souvent confondu dans le langage usuel. Il faut donc préciser ici que le double pas est le geste technique qui consiste à tirer après 2 appuis en sautant. Mais qu’est ce que le tir en course ? Quel est sa problématique ? Quel est son mode de fonctionnement dans l’apprentissage ?
Le double pas est la base de la gamme des tirs en course. C’est l’exécution d’un tir dont les appuis ne sont plus au sol à son achèvement et qui se termine par un lâcher de balle lors du saut. Il est spécifique car il nécessite de la coordination et une aisance qu’il vaut mieux aborder le plus tôt possible. Il répond souvent à une mise en difficulté du défenseur et correspond à des tirs proches du cercle. Selon la position défensive ce tir en course peut varier et se produire sur des appuis variés et des finitions au niveau du lâcher de balle très diverses.
Lorsque l’on est seul : On y retrouve les faussement nommés « lay-up » en France mais plutôt à traduire par finger-roll qui sont des tirs finissant sur une balle plutôt vers l’avant, bras tendu et terminant sur les doigts, la paume ouverte au ciel. Avec une défenseur en position latérale : Le double pas devient un tir nécessitant alors une protection de balle et des appuis pouvant varier (et n’étant plus forcément doublé type appuis inversés, power lay-up…). Chaque situation sera donc à travailler tout au long du parcours du joueur avec des degrés de difficulté variables en fonction de la progression.
Tout au long de la formation les difficultés vont augmenter avec la maitrise de ces tirs par vos joueurs. Les premiers problèmes auxquels vous allez être confronté avec les plus jeunes joueurs sont les soucis liés au développement moteur et physique des enfants. Les paramètres tels que l’équilibre, la coordination ou encore la difficulté à sauter vont être une vrai contrainte à la bonne réalisation. Pour les résoudre il n’y a pas milles solutions…..répétition et encore répétition. Mais petit à petit les choses se stabiliseront, il faut juste être patient et accepter que les enfants n’apprennent ni ne maitrisent tous les choses à la même vitesse.
Ensuite il va falloir être patient et tenir compte également des contraintes cognitives. Dans ces paramètres on peut y inclure tout ce qui va être lié à la construction du cerveau. Il faudra user d’astuces et de recettes pour expliquer tranquillement ce que vous attendez d’eux dans la réalisation technique. C’est la première étape lorsque vous accueillez un nouveau licencié. Cette étape consiste à expliquer que l’on peut tirer en allant vite mais que cela nécessite l’apprentissage de la pose des appuis, du positionnement défensif et de la notion de saut.
Lorsque le joueur maitrise un peu (même si ce n’est pas totalement) il faut passer à l’étape suivante le plus rapidement possible pour ne pas enfermer le joueur dans le « double pas ». Vous avez la possibilité d’apprendre les bases soit analytiquement (« pas à pas ») soit globalement (en partant directement du mouvement en entier. Après la découverte de l’alphabet vient l’apprentissage de toute la gamme et de la réalité du tir en course en situation de jeu. Elle doit arriver rapidement voire parallèlement à la découverte. Enfin arrive la partie la plus complexe, celle du perfectionnement.
La priorité est de rechercher sans cesse l’opposition pour le porteur de balle. Nous sommes un sport d’appuis et les solutions sont nombreuses Les tirs en courses sont à maitriser de manière bilatéral. Ainsi comme vous le constatez la maitrise globale des différents tirs en course est longue et fastidieuse. C’est une notion qu’il faut intégrer à chaque séances et ce quelle que soit la catégorie entrainée.
Larticle ci-dessous réalisé par l'un de nos collègues, développe cette démarche en proposant des exercices à répéter régulièrement.
Le tir crochet Après un changement de direction (au niveau du lancer-franc), le joueur effectue un dribble et réalise un double pas. Le porteur lance le ballon contre la planche, fait le rebond et part en dribble jusque dans le rond central où il effectue la passe. Le non porteur court dans le couloir extérieur. La réception de la balle se fera à l'entrée de " la raquette pour permettre un tir en course sans dribble. Le retour se fera après remise en jeu, en échangeant les rôles.
Echange de balle main à main en tête de raquette, puis passe demilongue à l'entrée de la raquette. Les joueurs ne peuvent courir dans les cercles restrictifs. Les ballons sont déposés à droite et à gauche de l'entraîneur, dans l'aile haute. Les joueurs courent dans l'axe central vers l'entraîneur qui leur indique le côté où ramasser le ballon. Les joueurs courent vers l'entraîneur qui lance la balle à droite où à gauche. Le jeu s'arrête sur parler marqué. - si le défenseur conteste la passe en courant, le receveur passe devant (figure 17). Lutilisation du tir main sous le ballon est plus courante.
Quand un joueur va tirer en courant vite, il ne peut s'organiser pour tirer avec efficacité la main derrière le ballon. Courant vite, il est penché vers l'avant (à la poursuite de sa balle), tirer main derrière le ballon l'oblige à se réorienter vers la cible, la balle au-dessus de la tête l'oblige à être légèrement penché vers l'arrière. Cette réorientation oblige le joueur à ralentir pour tirer avec succès, alors que tirer la main sous le ballon permet de conserver (voire d'accroître) l'accélération et de couvrir plus d'espace.
tags: #tir #par #en #dessous #basketball