Le geste du pistolet sur la tempe est un symbole fort qui peut apparaître dans divers contextes, allant des manifestations politiques aux rêves personnels. Il est crucial de comprendre les différentes interprétations de ce geste pour saisir pleinement son sens. Cet article explore les conséquences psychologiques de ce geste, son symbolisme dans divers contextes, et les facteurs et conséquences des blessures par balle à la tête.
On connaît trop bien les témoignages des réfugiés kosovars, les rafles, les massacres et les viols. Mais les conséquences psychologiques de l’horreur continuent bien au-delà des projecteurs de l’actualité. Les organisations humanitaires commencent à réaliser l’importance que revêt cette dimension des soins chez les réfugiés.
Selmi a 20 ans. Depuis cinq mois, elle ne mange plus, ne dort plus et préfère rester seule. Elle ne sait pas pourquoi elle est encore en vie, mais elle est poursuivie par une image : un masque rouge avec des yeux noirs. Un masque qui, encore aujourd’hui, la traque, la surveille et peut apparaître devant elle à tout moment. La nuit surtout, il se mêle à ses rêves et la réveille dans un sursaut. Son cœur palpite. Elle se rappelle parfaitement les détails des yeux, du masque, du pistolet sur sa tempe.
« Ils sont arrivés le soir du 26 mars, raconte-t-elle. Le premier jour des bombardements de l’OTAN. Ils sont entrés dans la maison et ont fait sortir les hommes. Mon frère, mon père et mon oncle ont protesté, ils ont été tués sur-le-champ. Une balle dans la tête. Après le départ des assassins, j’ai vu les corps allongés devant les marches. Le sang coulait encore. Cette image me revient tout le temps, comme si c’était hier. » Selmi se souvient aussi parfaitement d’une phrase qui dansait dans sa tête pendant qu’elle était seule avec le masque : « Il vaudrait mieux être morte. » Elle se souvient de sa terreur animale, le cerveau déconnecté. Les mots prononcés pour décrire la scène, évoquent, dans son corps, toutes les sensations de ce moment-là.
Comme des milliers de ses voisins, depuis cinq mois, Selmi souffre d’un syndrome de stress post-traumatique. Le cerveau électrifié par ce qu’il a vécu en garde une empreinte que le temps ne peut effacer, comme celle des autres souvenirs. Le corps demeure en état d’alerte, prêt à fuir ou à se battre. Il refuse le sommeil ou la nourriture qui risqueraient de faire baisser cette garde.
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Dans la crèche de Pec, les éducatrices sont désemparées. Les enfants ont des colères inexplicables. Souvent, ils miment entre eux des scènes d’une violence inouïe. Les uns après les autres, affectés de torticolis, de migraines, de palpitations, avec une tension artérielle au maximum, les ex-réfugiés viennent parler de leur douleur physique, la seule qu’ils jugent convenable d’évoquer. Souvent, ils repartent avec du Valium, qui ne les aidera pas beaucoup mais leur donnera peut-être une nuit de sommeil.
Dans les ateliers d’information organisés par MSF, des médecins kosovars viennent pour mieux comprendre, pour mieux aider. Et ils racontent combien il leur est difficile, quelquefois, d’écouter. Eux aussi ont vécu la même chose. Chassés, battus, humiliés. Ils se sont parfois cachés sous des corps encore chauds. Comment tolérer ses propres souvenirs quand ils sont ravivés par la souffrance des autres ? Certains ont dû arrêter leur travail psychologique. Trop dur. Trop perturbant. Dans le métier, on parle de « traumatisation par personne interposée «, sorte de contagion de l’horreur. Pour cette épidémie-là, pas de vaccin. Le Valium n’y fera rien, ni même les antidépresseurs. Le traitement passe par la parole. Raconter, écrire, dessiner. La mission des organisations humanitaires consistera à mettre en place des groupes de parole en formant des psychologues et des médecins kosovars à ce travail délicat et essentiel. Seuls ou ensemble, les Kosovars devront transformer les images de la douleur, intemporelles et omniprésentes, en une histoire.
Une balle dans la tête n’est pas toujours mortelle. Quand le coup est tiré vers le haut depuis le menton, le recul peut dévier la bouche de l’arme vers le visage. Dans ce cas, la personne n’est pas touchée en pleine tête, où se trouve le cerveau : la balle passe par la bouche et le nez. La victime d’un tel coup souffre de blessures graves au visage. Elle peut aussi suffoquer si la balle touche une partie de son nez, ou si des morceaux de chair bloquent les voies respiratoires.
Plus la balle est grande, plus les dégâts sont importants, puisque le projectile détruit tous les tissus sur son passage. Les balles à pointe vide, qui se déforment une fois arrivées à leur point d’impact, sont particulièrement dangereuses : leurs fragments peuvent toucher davantage de tissus du cerveau.
Mais c’est surtout l’endroit où la balle arrive qui compte: plus c’est loin du centre du cerveau, plus les chances de survie sont grandes. Si une balle frôle le bord d’un des lobes du cerveau, le patient va certainement survivre, avec un bon traitement médical. Si une balle entre juste dans un hémisphère, il peut encore à peu près guérir.
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Quelqu’un qui se prend une balle juste à l’avant du cerveau peut souffrir de changements de personnalités, comme Phineas Gage, cet employé des chemins de fer, qui, au XIXe siècle, est devenu obstiné et vulgaire après un accident.
Les trajectoires de balles les plus graves sont celles qui traversent la tête d’un côté à l’autre, et qui touchent sur leur chemin le centre du cerveau. C’est là que se trouvent le tronc cérébral, le diencéphale, et d’autres structures qui, ensemble, gouvernent les fonctions vitales fondamentales comme la respiration, le rythme cardiaque, la pression sanguine et la température. Une balle à travers la bouche, comme Hitler, peut tuer sur le coup si elle touche le tronc cérébral.
Quelque soit l’angle, les blessures de balles dans la tête sont souvent fatales. Selon des données inédites de l’Université de Maryland, sur 264 personnes qui en ont été victimes depuis 2000, toutes sont mortes sur place sauf 29. Sur les 27 qui ont été retrouvées, seulement 18 ont pu arriver jusqu’à la salle d’opération.
L'étude clinique de 19 patients défigurés après un tel geste, hospitalisés au CHU de Rennes, a permis de dégager certains traits psychologiques chez ces suicidants. La reconstruction chirurgicale s'accompagne d'un travail psychique d'élaboration : la relation privilégiée entre le patient et le chirurgien, dont le rôle paraît assimilé à une fonction maternante, et les multiples réparations chirurgicales aident à la restauration narcissique et à l'élaboration du sentiment d'identité.
En général, rêver de pistolet évoque des événements et des émotions désagréables. C’est pourquoi, on associe facilement rêver de pistolet à une force négative qui agit contre vous. Par exemple, le rêve d’un pistolet chargé sera l’expression d’une violence refoulée, ou de la haine que vous éprouvez contre quelqu’un.
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Selon Sigmund Freud, un homme qui rêve de pistolet est confronté à des pulsions qu’il n’arrive pas à satisfaire. Le pistolet utilisé représente le désir du rêveur de prendre le contrôle de sa vie et de surmonter les défis. Au sens figuré, ce rêve signifie la volonté du rêveur de se défendre et d’affirmer ses limites, défendant symboliquement son bien-être émotionnel et psychologique.
Rêver de pistolet pointé sur la tempe est une représentation d’un comportement violent, de contrôle et de défense. Ce scénario peut également indiquer vos désirs intérieurs. Autrement, rêver d’une arme pointée sur votre tête est un signe de suprématie et de fierté, peut-être cherchez-vous une protection. En outre, cela peut être un signe de danger à proximité.
Le fait de tirer avec un pistolet, en rêve, représente une décision sérieuse que vous devez prendre ou vos choix qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses. Rêver de pistolet et tirer décrit également votre volonté ou votre pouvoir de prendre des décisions. Si, dans ce rêve, vous tirez sur une mauvaise personne, cela peut refléter le fait de surmonter les schémas de pensée négatifs que vous aviez.
Acheter une arme à feu comme un pistolet, en rêve, symbolise que vous gardez vos vrais sentiments à l’intérieur. Cacher un pistolet, dans un rêve, indique qu’un incident inattendu vous apportera de la joie ou de l’angoisse, selon votre attitude. Vous vous êtes libéré de vos pensées de haine et de vengeance. Quelqu’un vous délivrera un message ou vous donnera des conseils.
Le langage des mains est un mode de communication non verbale qui accompagne la parole, généralement de façon inconsciente. Tout comme le reste du corps, les mouvements des mains renseignent sur l’état émotionnel ou affectif du moment.
Il faut donc savoir faire preuve de subtilité pour décrypter ce que les mains disent et que la langue tait. Savoir décoder le langage des mains peut s’avérer être un atout.
Si votre allocutaire a l’index et le majeur sur la tempe, l’annulaire et l’auriculaire sur la bouche et le pouce soutenant le visage, il y a fort à parier qu’il désapprouve votre discours.
Il se pince le nez ? C’est un geste qui trahit son désaccord : il ne sent pas ce que vous dites. Il a les mains en appui, les doigts croisés et les pouces collés, ou les mains jointes paume invisible devant la bouche ?
Classement | Désignation | Caractéristiques | Exemples |
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D - a) | Tous objets pouvant constituer une arme dangereuse pour la sécurité publique | arme non à feu camouflée | poignard, couteau-poignard, matraque, projecteur hypodermique, couteau dit papillon ou Balisong, couteau à cran d'arrêt avec mécanisme d'ouverture automatique, arme blanche de jet appelée étoile de Ninja, arme mixte d’un modèle antérieur à 1946 combinant une arme contondante dite coup de poing américain avec une arme blanche à lame |
D - b) | Certaines bombes aérosols lacrymogènes ou incapacitantes | Capacité de 100 ml maximum | |
D - c) | Certaines armes à impulsion électrique de contact | matraque électrique, poing électrique, certains modèles de shocker | |
D - d) | Arme classée aux e, f ou g qui a été neutralisée | ||
D - e) | Arme historique et de collection | Certains modèles non dangereux d'avant 1900 | |
D - f) | Reproduction d'arme | Modèle d'avant 1900. Tire uniquement des munitions sans étui métallique. La fabrication ne doit pas améliorer sa précision et sa durabilité. |
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