John Wick : Chapitre 4 est un film événement, un rendez-vous cinématographique que peu de sagas réussissent à honorer avec autant d'éclat. En seulement neuf ans et quatre opus, le parcours de John Wick nous a offert des scènes d'action mémorables et s'est imposé comme une référence du genre, un véritable temple du combat.
La saga John Wick repose sur une formule simple mais efficace : une histoire directe qui met en avant des séquences d'action spectaculaires. Chaque aspect de la production est encouragé à donner le meilleur de lui-même, en particulier les équipes de cascadeurs.
Le premier film, sorti en 2014, a été un succès critique et public, malgré un budget modeste de 20 millions de dollars. Face à cet engouement, une suite était inévitable.
Dans une interview en 2017, le réalisateur Chad Stahelski a évoqué une discussion avec les Wachowski concernant Matrix Reloaded : "Comment être original dans une suite ? Il faut que ça reste familier mais que ce soit original. Tu peux y aller plus gros/plus vite/plus fort, ou tu peux approfondir, ou tu peux juste refaire le même film. […] On a choisi d’y aller un peu plus fort mais aussi d’approfondir l’univers."
Si l'extension du deuxième opus avait été bien accueillie, le troisième a laissé les fans sur leur faim. Cependant, John Wick : Chapitre 4 marque un tournant en offrant une ampleur nouvelle et une conclusion satisfaisante.
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La promotion du film promettait des scènes tournées au Japon, à Berlin et à Paris, avec la participation de 98 cascadeurs et des légendes des arts martiaux comme Donnie Yen et Scott Atkins. Mais John Wick : Chapitre 4 est bien plus que cela : c'est un moment clé dans l'histoire du genre, une passation de flambeau.
Sans la passion et l'implication de Keanu Reeves, le projet n'aurait probablement jamais vu le jour. Sur papier, John Wick est un monstre sanguinaire, mais l'acteur lui apporte une douceur naturelle qui rend la violence plus acceptable, d'autant plus qu'elle est appuyée par un engagement physique extrême.
Dans ce quatrième chapitre, John Wick prend conscience de sa futilité. Il comprend qu'il appartient à une époque révolue et laisse place à une nouvelle génération. Keanu Reeves lâche prise, avec seulement 380 mots prononcés dans le film, laissant place à l'action et aux autres personnages.
Les références dans John Wick sont nombreuses, allant du simple caméo à la reprise plan par plan de séquences mémorables. Chad Stahelski et Keanu Reeves subliment ces références, souvent avec un second degré qui frise la parodie sans y sombrer. L'exemple parfait est Donnie Yen en sabreur aveugle, une référence à Zaitoïchi, réactualisée et rendue attachante.
La "wickification" consiste à revitaliser des éléments du genre, comme le nunchaku, le combat contre Scott Atkins en fatsuit, ou la revisite de Paris façon Les Guerriers de la Nuit. Tout est mis au service de séquences mémorables et de personnages mythiques.
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Contrairement aux Expendables, John Wick ne se contente pas de juxtaposer des légendes connues. La saga crée de nouveaux personnages et infuse l'esprit d'action à une nouvelle génération, comme Shamier Anderson, Marko Zaror, Natalia Tena, et surtout Rina Sawayama en Akira, une jeune guerrière samouraï.
En mettant en avant de jeunes acteurs et cascadeurs, la saga John Wick assure la transmission et la continuation du genre.
Une scène en particulier restera dans l'histoire : le quasi plan séquence de fusillade en vue zénithale dans un immeuble parisien abandonné, directement inspiré du jeu vidéo Hong Kong Massacre. Chad Stahelski choisit de ne pas abuser de la VFX et reste dans la prise de vue réelle "améliorée" pour donner du poids à la scène.
Avec cette séquence, l'esprit John Wick dépoussière le genre et brise les murs qui le séparent des arts visuels plus récents.
John Wick : Chapitre 4 est donc bien plus qu'un excellent blockbuster printanier. C'est un projet unificateur, créateur, amoureux de cinéma, dédié à celles et ceux qui le regardent et fidèle à celles et ceux qui le font.
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Peu de films de cette envergure peuvent se permettre autant de libertés et encore moins nombreux sont ceux qui le font avec autant de justesse, d'audace et d'humilité.
La marque Walther est une référence mondiale dans le domaine des armes de poing, reconnue pour sa qualité de fabrication et son innovation technologique. Le légendaire Walther PPK est devenu un symbole grâce à son utilisation par James Bond, incarnant l'élégance et l'efficacité. On retrouve également des pistolets Walther dans John Wick, choisis pour leur design épuré et leur fiabilité.
Le STI Combat Master, quant à lui, est un pistolet airsoft de haute performance, inspiré du modèle 1911 et modernisé. Il est conçu pour résister aux usages intensifs et offre une puissance exceptionnelle grâce à sa propulsion CO2.
| Modèle | Calibre(s) | Capacité | Longueur canon | Usage conseillé |
|---|---|---|---|---|
| Walther PPK/S | .22 LR / .380 ACP | 7 à 10 coups | ~84 mm (3.3") | Défense, collection, cinéma |
| Walther P22 | .22 LR | 10 coups | ~87 mm (3.4") | Loisir, initiation |
| Walther P99 AS | 9 mm | 15 coups | ~102 mm (4") | Service, polyvalent |
| Walther PDP | 9 mm | 15 à 18 coups | 102 à 127 mm (4" à 5") | Tir sportif, défense |
| Walther PPQ M2 | 9 mm / .45 ACP | 15 à 12 coups | ~102 mm (4") | Usage mixte |
| Walther Q5 Match | 9 mm | 15 à 17 coups | 127 mm (5") | Compétition |
Tous les pistolets Walther de catégorie B sont soumis à autorisation préfectorale.
Le STI Combat Master est un pistolet airsoft de haute performance conçu pour les passionnés d'airsoft exigeants. Inspiré du modèle légendaire 1911 et modernisé pour le 21e siècle, ce pistolet incarne l'alliance parfaite entre design raffiné, puissance et fiabilité.
Le STI Combat Master est devenu un incontournable grâce à son apparition dans le film à succès *John Wick 3 : Parabellum*, où il est utilisé par l'inoubliable Baba Yaga lui-même.
Réplique du pistolet inspiré du film John Wick 4, sous licence officielle TTI. Fabriqué par Army Armament, sous licence officielle Taran Tactical Innovations, le GBB Sand Viper est une réplique airsoft du pistolet de combat 9 mm utilisé par John Wick dans le chapitre 4 de la saga cinématographique.
Le STI Pit Viper est rétrocompatible avec tous les chargeurs Combat Master et dispose d’un chargeur optionnel de 30 cartouches.
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