Notre guide d'achat des meilleurs FPS sur la Xbox One de Microsoft vise à satisfaire tous ceux qui aiment les shooters à la première personne, ceux pour qui les plus belles missions se vivent en vue subjective, avec le canon encore fumant et bien engoncé dans une armure rutilante de Spartan ou de Doom Guy. A moins bien sûr que vous ne préfériez les champs de bataille historiques des guerres mondiales comme dans Battlefield ou Call of Duty, voire les expériences de groupes comme dans des Battle Royale type Apex Legends ou Warzone...
La Xbox One offre une vaste sélection de jeux de tir pour tous les goûts. Que vous soyez fan de FPS (First Person Shooters) intenses, de jeux de tir à la troisième personne bourrés d'action ou de jeux de survie palpitants, vous trouverez votre bonheur sur cette console. Découvrez une liste des titres les plus populaires et les plus acclamés par la critique.
Voici une sélection de jeux de tirs et shooter Xbox Series et Xbox One. Le classement est effectué par un algorithme donnant à chaque jeu des ☀P en fonction de sa date de sortie, de l'intérêt porté par les joueurs et ses qualités de tirs et shooter.
Voici une liste des meilleurs jeux de tir Xbox Series et Xbox One, classés selon un algorithme basé sur la date de sortie, l'intérêt des joueurs et les qualités FPS :
Les First-person shooters alias FPS, c'est un genre de jeu vidéo, principalement axé sur le combat avec des armes, souvent à feu, dans lequel on voit du point de vue du protagoniste, comme si le joueur et le personnage du jeu étaient le même observateur. C'est un jeux de tir à la première personne. Comme si tu jouais au travers d'un personnage virtuel équipé d'une GOpro sur la tête.
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Wolfenstein 3D (1992) a été considéré comme l'un des premiers FPS pour ordinateur. Le genre était également connu à l'origine sous le nom de "Doom style", en raison de la popularité du jeu Doom (1993).
Sur Xbox (première génération), c'est Halo: Combat Evolved qui viendra bousculer le genre FPS vers une nouvelle direction, celle du réalisme. La série Call of Duty, avec le dernier Call of Duty : Black Ops Cold War donne une tendance actuelle.
Poursuivons par l’une des plus belles franchises qu’il m’a été donné de voir. C’est bien simple, Halo est une des franchises, tout genre confondu, qui reste inoubliable et qui se bonifie année après année. N’importe quel joueur qui a connu Halo, peut encore vous chanter ses OST magistrales.
Il m’a d’ailleurs été impossible de départager un épisode de la première trilogie pour ce classement, car tous ont des particularités, et je ne saurais que vous conseiller, si vous n’y avez jamais joué, de foncer tenter l’expérience. Car Halo, c’est un gameplay accessible et un univers de science-fiction à la réalisation magistrale avant tout.
Le premier Halo est peut-être le plus mystique avec sa campagne erratique et son ambiance très particulière, surtout après l’arrivée des Floods, les aliens parasites. Halo 2 a ensuite magnifié son prédécesseur en conservant les codes établis et Halo 3, fut à l’époque une révolution technique en coopération et au multijoueur ravageur sur Xbox 360. Team BR’s Guardian, je ne t’oublierais pas.
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Je commence ce Top par un titre très personnel, Red Faction ! Celui-là, si vous y avez joué, vous savez de quelle claque il s’agit. Le premier Red Faction est un FPS qui avait su faire parler de lui dans la bonne publicité, car c’était en son temps, ce jeu était assez violent et surtout particulièrement sombre.
Perdus sur Mars, nous incarnons un mineur, ou plutôt un guerrier en pleine insurrection face à une corporation totalitaire, Ultor. En soi, Red Faction est un excellent FPS. Le jeu dispose d’un gameplay à l’ancienne, auquel s’ajoute le charme d’un univers à l’atmosphère oppressante très particulière.
Une petite révolution en son temps, qui offre encore maintenant une sensation détonante trop peu exploitée dans les jeux vidéo et les jeux de tirs en général.
Je vous vois venir pour les plus puritains d’entre vous, oui Oddworld : La Fureur de l’Étranger n’est pas un FPS au sens le plus strict du terme. Et pourtant, il était impensable de ne pas l’intégrer à ce classement des meilleurs jeux FPS !
Aller chasser ses munitions, qui ne sont autres que des petites bestioles agressives piquantes ou puantes, pour finir par les hameçonner à une arbalète et les balancer sur des brigands, cela mérite le détour. Oddworld : La Fureur de l’Étranger n’est autre qu’un titre fantastique et primé à sa sortie sur XBOX première du nom, que nous devons à l’imaginaire de Lorne Lanning.
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En outre, Oddworld : La Fureur de l’Étranger nous immerge dans un univers décalé, à la croisée d’une influence western et bordée de références des franchises du studio d’Oddworld Inhabitants.
Nous aurions aussi très bien pu vous conseiller l’opus sorti en 2003 sur Gamecube, tant ce titre fut à l’époque une petite révolution technique. Metroid Prime est un FPS particulier, fait assez rare pour cette catégorie, le jeu a été pensé intégralement pour l’aventure en solo. Une fantaisie pour les jeux FPS !
Et même au-delà de l’aspect action, Metroid Prime est un jeu faisant la part belle à l’exploration. Son univers se découvre petit à petit, à mesure que l’on améliore les capacités de Samus notre héroïne. Même le gameplay est aussi en décalage avec les autres FPS de sa catégorie, puisque la visée peut être verrouillée.
Ce qui n’enlève rien à la difficulté du jeu possédant au passage, une excellente durée de vie et une bande-son fantastique.
Décidément, Chernobyl ne cesse d’affoler les esprits les plus créatifs en matière de livres, de séries et de jeux vidéo. Largement considéré comme l’un des meilleurs FPS sur PC, la saga S.T.A.L.K.E.R, développée par le studio Ukrainien GSC Game World, nous plonge directement dans la zone d’exclusion de la centrale, après que celle-ci ait fait état d’une seconde et mystérieuse explosion.
Alors, ne vous y prenez pas, S.T.A.L.K.E.R, bien qu’étant un FPS, n’est pas un titre que l’on peut classer dans la catégorie défouloir. Ce n’est pas non plus un jeu porté sur le multijoueur. Bien au contraire, il est ici question d’exploration et d’ambiance, deux mots d’ordre de la saga S.T.A.L.K.E.R.
Nous retrouvons même des éléments de RPG dans l’inventaire, une gestion des radiations et un effort sur l’interaction du personnage avec les PNJ, pour finalement porter sur 7 fins différentes. Un titre élitiste, mais ô combien immersif, dans les marais puants de Pripyat.
Voici le tout premier des jeux vidéo en ligne sur console, Quake III : Arena, qui n’était alors disponible que sur Dreamcast ! Car jusqu’à présent, Quake était surtout connu par tout le monde comme le Doom-like par excellence, avec son bestiaire infernal et sa bande-son musclée.
Interface minimaliste, booster à foison et gros flingues, la recette fonctionne.
Si je vous parle de pieds-de-biche, il y a fort à parier pour qu’Half-Life vous vienne en tête ! Nous y incarnons un scientifique mis à mal par une expérience ayant fait apparaître dans sa réalité, des entités extraterrestres.
Un cas de figure catastrophique, qui transporte le joueur dans une aventure hors du commun.
Plus récemment, nous entendons beaucoup parler de Doom Eternal, l’épisode ayant sonné le renouveau de la série. Pourtant, il y a bien longtemps, Doom 3 avait déjà révolutionné sa petite génération sur la Xbox première du nom.
Doom 3 m’avait marqué à sa sortie, car j’ai un faible, il est vrai, pour tous les FPS portant une importance à l’aspect aventure en plus de l’action. id Software transforme une nouvelle fois l'essai et livre ici une version plus aboutie, plus variée, plus virevoltante et plus généreuse du "nouveau DOOM", celui que personne n'avait vu venir en 2016. DOOM Eternal n'est clairement pas un jeu qui nous veut du bien, et nous le fait vite savoir.
Qui aurait pu penser que la licence de James Bond marquerait à ce point l’histoire des FPS ? GoldenEye 007 à son époque, c’était quelque chose. Ce jeu de tir, qui portait encore avec lui les stigmates du rail shooter tel qu’il était initialement pensé, a su proposer une aventure de qualité et surtout un mode multijoueur local qui s’était taillé une réputation dans les cours de récréation.
C’est bien simple, à ce moment, quiconque possédait une 64, avait de grandes chances de posséder GoldenEye 007, un grand-père du FPS.
Techniquement très beau à sa sortie, F.E.A.R intégrait aussi un concept à la fois novateur avec son gameplay inspiré des codes du cinéma. Il était possible pour les joueurs, de ralentir l’action en cours, afin de mieux cibler et terminer les ennemis.
Voici une licence aujourd’hui quelque peu oubliée après le passage de rouleaux compresseurs comme Call of Duty : Warzone ou Battlefield, et pourtant, Medal of Honor avait frappé fort lors de sa sortie sur la console de Sony.
Très beau, Medal Of Honor était aussi dans mes souvenirs très immersif, avec sa direction artistique soignée, et disposait d’une bonne durée de vie. Le titre souffrait cependant, même pour les anciens standards, d’une maniabilité assez rigide, sachant qu’il était sorti un an après Halo 1.
Je me souviens encore, à sa sortie, de la grande rivalité qui existait à la sortie de Battlefield 3 vis-à-vis de Call of Duty. Pourtant, tous deux comptaient parmi les meilleurs jeux FPS de leur temps.
Pour rivaliser avec ce dernier, EA avait vu grand avec Battlefield 3 qui fut un jeu vidéo pensé avant pour la coopération et le multijoueur. Il était possible, à l’aube du Battle Royale, de jouer jusqu’à 64 joueurs en ligne, avec un gameplay beaucoup plus orienté sur la simulation que l’arcade.
En outre, toujours dans cette optique de grandeur, les cartes de tailles immenses permettaient d’inclure tout un ensemble de véhicules pilotables sur terre et même dans les airs.
Dans la famille Quake-like, je demande le fils, Painkiller ! FPS du type bourrin et quelque peu nerveux, Painkiller est le FPS parfait à déballer après une sale journée. C’est le jeu de tir à la première personne dans son plus simple appareil : un fusil, des roquettes, des vagues d’ennemis à déchiqueter, une touche saut, une barre de santé et un tableau des scores.
Alors certes, Painkiller ne fait pas dans l’originalité, mais la recette fonctionne à merveille, jusqu’au dégoût.
Il aura fallu près de 15 ans de conception pour enfin, voire sortir Duke Nukem Forever, le digne successeur de la licence. Est-ce que l’attente fut justifiée, bien sûr que non !
Et pourquoi donc certains médias se sont-ils empressés d’enfoncer le titre à sa sortie ? Sur ce point, à quoi s’attendaient-ils ? Duke Nukem est un navet dans cette sélection des meilleurs jeux FPS, mais un bon navet. Humour gras, scénario débile, technique aux fraises, mais surtout retour des Porcoflics, des gros flingues et du Duke, icône de la Pop Culture.
Si vous savez faire la différence, alors par un malheureux hasard, jetez un œil à ce titre quelque peu détesté et moqué. Il est en quelque sorte fait pour cela.
Voici le titre d’une des franchises injustement oubliées dans la grande famille des meilleurs jeux FPS, et qui pourtant possède un bon nombre de qualités. Titanfall 2 propose un gameplay musclé, FPS classique et utilisation de mécas sur-armés. Une combinaison jouissive, comme le gameplay du titre, son véritable point fort.
Si vous souhaitez vous attaquer au multijoueur de Titanfall 2, sachez cependant que le titre demeure assez exigeant.
Si Duke Nukem et Quake avaient un fils, ce serait Serious Sam. Ce FPS est à ranger dans la même boîte à défouloir. Car à défaut d’être sérieux, Serious Sam fait partie de ces FPS qui vous assureront une bonne dose de détente.
Ce FPS, afin peut-être de se faire pardonner ses graphismes quelque peu datés, permet une capacité d’affichage importante d’ennemis à l’écran.
Presque tout le monde connaît aujourd’hui Apex Legends, l’un des jeux FPS les plus en vogue est venu concurrencer la mode de Fortnite. Les personnages jouables sont des héros à la sauce Overwatch, et ici le mot d’ordre est bel et bien la complémentarité des équipes.
L'impression qu'on a en jouant à Apex Legends, c'est qu'il s'agit sans doute du battle royale le plus abouti à sa sortie. Et quelle bonne surprise.
Pour l’emporter, il est indispensable de communiquer, et faire en sorte d’être la dernière équipe, ou le dernier des joueurs encore debout.
Avant de donner naissance à une suite de nombreux épisodes à mon sens très critiquable, Call of Duty était une licence en son temps très respectable et qui a fait les beaux jours du multijoueur en ligne dans les FPS tous supports confondus.
Initialement tiré du roman de Dmitri Glukhovsky, Metro Exodus est le troisième épisode paru sur consoles et PC comme jeu de tir à la première personne. Et première surprise du titre, il n’est plus question de rester terré dans les dédales du métro moscovite, la signature des titres Metro, après les conséquences d’une guerre nucléaire.
Un choix bien appréciable, et la suite logique des épisodes précédents.
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