Le crime est un business comme une comédie comme une autre avec ses acteurs, sa hiérarchie et ses règles. Les plus téméraires intimident les autres pour s’emparer du pouvoir. Une fois en place, le boss doit garder un œil sur les autres.
Fernand Naudin, ex-truand rangé, est appelé d'urgence par un de ses anciens "frères d'armes" qui lui a gardé toute sa confiance : surnommé "le Mexicain", ce dernier est mourant et veut charger Fernand non seulement de ses affaires mais aussi de veiller sur sa fille Patricia.
Avant de partir, il tient à ce que son ami Mr Fernand (Lino Ventura) s’occupe de ses affaires et aussi de sa fille Patricia (Sabine Sinjen). Fernand, un ancien gangster qui est s’est recyclé dans la vente de matériel de travaux publics à Montauban, traine un peu des pieds puis accepte. Tout commence par un audit.
Fernand rencontre Maître Folace, le notaire de Louis (Francis Blanche). Le business ne va pas si bien. L’argent ne rentre pas. Les Volfoni ne règlent pas les redevances. Fernand doit remettre de l’ordre dans la gestion des tripots, des distilleries et des bordels.
Fernand passe au travers des balles de Théo alors que les règlements de compte se multiplient. On se croirait chez Les Républicains ou au Parti Socialiste, et peut-être bientôt à La République En Marche. C’est Patricia qui reste encore la plus difficile à gérer.
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Tout va se résoudre lorsqu’elle décide de se marier à avec Antoine. Si l’idée ne plait pas à Fernand, il s’en accommode. Le mariage lui permet en effet de se débarrasser de tous ces problèmes. Car c’est le père d’Antoine (Pierre Bertin) qui va récupérer l’administration de la dot de sa belle-fille. Le nouveau patron du FMI ne sait pas encore ce qui l’attend.
Tout le monde se retrouve au mariage de Patricia. Certains obtiennent le plus haut poste dans leur entreprise parce qu’ils ont fait pression, ou des courbettes, pendant des années. D’autres en héritent. Ce qui n’est pas forcément un cadeau. Il ne reprend pas la compagnie dans son propre intérêt mais pour la noble cause : que Patricia ne finisse pas sur le trottoir comme le craignait Louis.
Fernand est l’élu (cf Matrix). Il a été choisi, il n’a pas choisi. Quand on prend la tête d’une entreprise, on ne peut pas faire la grande lessive comme le prouve les difficultés de Vincent Bolloré avec Canal+. On doit composer avec les forces, et les faiblesses, en présence (cf le Stratège). En l’occurrence, Fernand n’est pas entouré que par des lumières.
Fernand regrette la disparition de l’esprit fantassin. L’armée n’est plus composée de soldats dévoués et aux intentions irréprochables. Au contraire, l’armée est désormais faite de mercenaires grossiers et sans scrupule. Maître Folace joue les arbitres en rappelant à tout le monde de ne pas faire de fausse note. Dans l’entreprise, il n’y a pas d’amis. Juste des concurrents qui veulent la place (cf there will be blood).
Fernand n’est effectivement pas au bout de ses surprises. Fernand doit donc asseoir son autorité. Il profite que Louis l’ait nommé patron de manière officielle. Ça n’est pas suffisant. Fernand s’impose comme un grand chef (cf Le Parrain). Il s’appuie sur Pascal, son premier ministre, pour consolider son pouvoir. Fernand invite d’ailleurs les frères Volfoni à boire un coup pour arrondir les angles.
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Certes le patron gagne plus d’argent que les autres. Il s’agit néanmoins de la rémunération des ennuis. Car si tout le monde n’aspire qu’à prendre sa place, il ne faut pas oublier que le patron ne gère que des problèmes du matin au soir. Il ne profite jamais. Facile de casser du sucre sur le dos du patron.
Fernand est un grand patron car il sait gérer le plus compliqué : passer la main. Certains n’y arrivent pas. Fernand a fait son devoir. Patricia est entre de bonnes mains.
La bataille du film les Tonton flingueurs, dans laquelle les pistolets ne font que des « pop pop », n’est pas réaliste. Mais il est tout à fait possible de rendre une détonation d’arme presque inaudible en utilisant un silencieux. Celui-ci est constitué d’une sorte de tube muni de chicanes, qui ont pour rôle de ralentir les gaz à la sortie du canon, ce qui a pour effet d’atténuer le bruit.
Mais pour que ce système soit efficace, il faut utiliser des munitions dites subsoniques. C’est-à-dire que la vitesse de la balle sortant de l’arme soit inférieure à la vitesse du son, soit 340 m/s. Si la vitesse de la balle est supersonique (ce qui est le cas de l’immense majorité des munitions), les gaz à la sortie du canon sont bien ralentis et donc le bruit amorti, mais le coup de feu reste audible.
La raison : la balle, en « volant » dans l’air, produit un bang supersonique semblable à celui généré par un avion qui franchit le mur du son.
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Voici un aperçu des "outils" d'un passionné, avec une préférence marquée pour le noir. Parmi les modèles favoris, on retrouve le CP 88.
Le 586 est le même, avant avec un canon 8" et maintenant en 4". Par contre, le 686 fait un peu intrus au milieu des autres tout en noir. L'objectif est de trouver un canon 6" de rechange en noir pour le 586.
Il fallait absolument une arme de gangster, un vrai arrosoir, et ça défoule vraiment après une journée chargée, même si c'est une petite entorse à l'airgun car c'est un airsoft électrique.
Avec cet arsenal, il est possible d'éparpiller des canettes façon puzzle.
Le plus puissant est incontestablement le 586, qui est aussi assez précis en 8". Mais le plus précis reste tout de même le CP 88. Pour ce qui est du Colt, il reste à régler un problème d'ajustement entre le petit barillet et le canon.
La carabine de l'enfance a été ressortie, dépoussiérée et fonctionne toujours. Il s'agit d'une Weihrauch HW 30 L calibre 4,5 mm fabriquée en Allemagne de l'ouest, un modèle de qualité. La crosse sera démontée, nettoyée et remise en état.
Après une absence, retour avec quelques outils en plus.
Pour le western, un modèle spécifique est dédié.
Sans oublier ces deux autres modèles.
Un défouloir personnel est le P90 (comme dans Stargate), ou une Nemesis DT4 Classic Army (air mou) double canon, surnommée la ''scie circulaire''.
Prochainement, il faudra se séparer du P320 et du MCX, mais le MPX, plus compact, sera conservé. Le P320 est parti pour de nouvelles aventures.
Un Crosman A4P a été acquis en remplacement de l'ancien modèle. Bien que le modèle d'origine (A4P) tel quel soit un peu moche, il a l'avantage d'avoir un canon très court et de tirer des rafales de fou en billes d'acier de 4.5 mm.
Un air de P90 est présent avec la poignée supplémentaire, bien que l'ergonomie de ce style de poignée en arc de cercle soit contestable.
La référence en termes de qualité airgun reste le CP88, même en 2021. Cette génération chez Umarex a mis la barre très haute. Le CP88 Compétition est un must-have.
Le CP99 a été donné à un collègue, le P320 également. Le MCX n'a pas trouvé d'amateurs et finira par partir comme les autres. Le 1911 n'a pas été réparé correctement mais peut servir de décoration. Le CP88 et le SW sont toujours utilisés régulièrement. Le PPK est usé au niveau de la vis de cartouche de CO2.
Le MCX est correct à environ 10 m. Il est un poil plus puissant que le MPX. Si l'on recherche le look et l'amusement, c'est un bon choix, mais pas pour la puissance ou la longue distance.
Le MPX est utilisé régulièrement avec plaisir. Le MCX est vendu car il est bien plus long et moins pratique.
Un M9A3 a rejoint la collection, en noir.
Le Beretta M9A3 est très agréable à utiliser. Les petits reproches seraient une certaine fragilité ressentie, et la rareté des chargeurs, en 4,5mm et couleur TAN !
Encore un pour le western. Il est prévu pour des plombs à jupe, mais avec son canon lisse, cela ne sert pas à grand chose, il ne reçoit que des billes en plomb. Les plaquettes de crosse gravées ASG ont été remplacées par celles du modèle airmou.
Le barillet a un aspect légèrement bleui, comme si il avait surchauffé.
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