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Cet article retrace l'histoire et les activités du club de tir "Les Tireurs du Douaisis", en mettant en lumière ses membres, ses compétitions et son évolution au fil des ans.

Stanislas Gora : Un Syndicaliste Engagé du Douaisis

Né le 15 juin 1925 à Escaudain (Nord), Stanislas Gora était coffreur boiseur en béton armé et permanent syndical. Il fut un syndicaliste CFTC puis CFDT du Nord, membre du bureau du syndicat CFTC du bâtiment du Denaisis (Nord) de 1956 à 1962, et membre du bureau exécutif de la Fédération du Bâtiment CFTC-CFDT de 1963 à 1975.

Stanislas Gora était le quatrième des cinq enfants de Stanislaw Gora. Celui-ci était un Polonais, ouvrier en agriculture, recruté par les Houillères du Nord, qui arriva à Abscon (Nord) le 10 juin 1922 et travailla comme ouvrier du jour au lavoir d’Escaudain. Ses parents étaient de petits fermiers qui ne pouvaient subvenir aux besoins d’une famille nombreuse : leurs fils devaient donc s’expatrier pour trouver du travail ailleurs.

Stanislaw Gora adhéra à la CGT en arrivant en France et eut en 1944 la carte de combattant FTPF (Francs-tireurs et Partisans français) dans les rangs des Forces armées polonaises en France. Il avait épousé en Pologne Marianna Sobala qui était aussi ouvrière en agriculture et qui vint le rejoindre en France en 1924 avec leurs deux filles. Une troisième fille, issue d’un premier mariage, resta en Pologne où son père payait sa pension ; elle ne vint les retrouver qu’en 1932. Ils habitaient dans une cité minière à Escaudain.

Tous deux étaient catholiques : le père pratiquait occasionnellement, la mère appartenait à la communauté des femmes catholiques polonaises en France et pratiquait régulièrement sa religion. Ils gardèrent la nationalité polonaise, sans doute parce que le père désira pendant quelque temps rentrer en Pologne, mais il y renonça car lors du partage des biens à la mort de ses parents, il avait été lésé étant trop loin pour faire valoir ses droits.

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Stanislas Gora fréquenta l’école primaire publique d’Escaudain ; il obtint à 13 ans le certificat d’études primaires et prolongea pendant un an sa scolarité. Puis il vendit des journaux, fit des journées dans les fermes, tout en suivant des cours d’ajustage sur métaux à l’école pratique de Denain (Nord). A 15 ans, en juin 1940, il se fit embaucher à la mine. Quand sa mère l’apprit, elle pleura et, sur sa demande, lui fit un béguin à mettre sous le casque de cuir. Il travailla quelques mois au jour, au triage, puis descendit au fond où il devait pousser les berlines de charbon ; il avalait beaucoup de poussière et demeurait assoiffé malgré son flacon d’aluminium d’un litre et demi de jus de chicorée. Mais ce travail le mit à l’abri du STO (Service du travail obligatoire) en Allemagne.

En mai-juin 1941, il vécut la grève patriotique des mineurs du Nord et du Pas-de-Calais, grève pendant laquelle les feldgendarmes s’efforcèrent de les faire descendre de force dans les puits de mines ; ils durent fuir devant les automitrailleuses dans les champs cultivés où celles-ci ne pouvaient les suivre, tandis que les balles sifflaient à leurs oreilles. Il vit à l’entrée des mines des femmes de mineurs embarquées de force par les feldgendarmes de Valenciennes (Nord), qui les relâchèrent ensuite dans cette localité. A l’issue de la grève, les cartes de rationnement des mineurs furent améliorées, mais il y eut de lourdes condamnations : beaucoup de responsables de cette grève furent torturés et fusillés ou pour certains guillotinés à la prison de Cuincy (Nord). Lors du 60ème anniversaire de cette grève patriotique, une cérémonie eut lieu le 27 octobre 2001 devant la plaque commémorative apposée sur le mur de la prison.

En juin 1944, S.Gora fut bloqué dans une étroite galerie où il fut enseveli ; on le dégagea avant l’asphyxie. Ne retournant plus à la mine, il alla voir ses camarades réquisitionnés pour reboucher les trous de bombes sur le terrain d’aviation de Prouvy (Nord), près de Denain. Embauché lui aussi par l’entreprise chargée de cette tâche, il s’en acquitta jusqu’à la Libération. Il travailla alors dans une briqueterie.

Embauché en 1949 par Nord-France et affecté à la centrale de Lourches (Nord), il y resta un an. Puis il travailla dans diverses entreprises, notamment chez Deschiron qui avait à Denain un train à bandes ; là il suivit des cours de charpente et tracés organisés par des compagnons. En 1962 il devint permanent CFTC, à mi-temps interprofessionnel sur Douai (Nord), à mi-temps pour le bâtiment, ceci jusqu’en 1974. En janvier 1974, le conseil de la Fédération CFDT du bâtiment décida que S.Gora passerait à temps plein à la construction et aurait pour tâche prioritaire le développement de la zone Lille-Roubaix-Tourcoing (Nord) et la structuration des syndicats du Nord et du Pas-de-Calais.

En effet le 7 janvier 1975, il rédigea un curriculum vitae envoyé à plusieurs organisations. Il entra en 1978 dans le cabinet régional du CÉRES (Centre d’études régionales, économiques et sociales) qui jouait un rôle consultatif auprès du Conseil régional. S.Gora se consacra à des études économiques et sociales demandées par les chargés de mission qui étaient eux-mêmes sollicités par les élus ; il s’agissait par exemple d’exposer l’évolution de l’emploi dans un secteur d’activité ou une branche professionnelle. S.Gora collabora en mai 1978 au lancement de la première « Note d’information économique » qui était toujours diffusée en 2001 car cette structure subsistait alors sous le titre d’Agence régionale de développement (ARD).

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Il avait épousé en 1950 Hélène Zuber qui était alors employée de maison et se consacra ensuite à son foyer. Stanislas Gora avait eu une éducation religieuse traditionnelle : il fit sa communion solennelle et reçut la confirmation. De onze à quatorze ans, il fréquenta le patronage et les réunions des Coeurs vaillants. En 1944 il appartint un an à l’Union de la jeunesse républicaine et participa pendant trois ans au Cercle théâtral des jeunes Polonais en France qui avait une chorale et donnait des représentations.

Il adhéra en 1947 à la CGT, mais n’y resta qu’un an. Il rejoignit la CFTC en 1955 car un « copain » syndiqué l’aida alors, avec l’appui de l’APF (Association populaire familiale), à se défendre contre les Houillères qui voulaient l’expulser d’un logement situé dans une cité minière, logement qu’il occupait avec sa mère veuve, sa femme et ses enfants. S.Gora adhéra en même temps au MLO (Mouvement de libération ouvrière) dont les APF étaient la branche familiale.

Devenu en novembre 1955 délégué syndical dans une entreprise d’Hornaing (Nord) qui construisait des centrales électriques, il eut rapidement d’autres responsabilités. S’il s’engagea ainsi, c’est que depuis 1954, il appartenait à l’ACO : au cours des récollections, des journées d’analyse des événements sous l’angle de la foi, on les incitait à prendre part au combat ouvrier. Lui et sa femme ne quittèrent ce mouvement qu’en 1995, sans doute parce que l’âge les amenait à restreindre leurs activités.

Quand S.Gora devint en 1962 permanent à l’Union locale (UL) de Douai, il cessa évidemment d’être secrétaire du Syndicat CFTC du bâtiment du Denaisis, fonction qu’il exerçait depuis 1956. Il fut chargé de toutes les activités privées et publiques du Douaisis : métaux, textile, alimentation, chimie, etc. ; il découvrit ainsi le travail en usine, si différent des chantiers qu’il avait connus dans le bâtiment. Il assuma en même temps des tâches administratives car il fallait gérer le budget de l’UL.

Il vécut la crise issue du congrès confédéral extraordinaire de novembre 1964 qui transforma la CFTC en CFDT. Lui-même y avait participé et voté en faveur de l’évolution. Il connaissait les réflexions de Reconstruction par les congrès de la Fédération CFTC du bâtiment auxquels il assistait depuis qu’il était permanent. Or au début de 1946, A.Détraz avait rejoint le groupe Reconstruction que Charles Savouillan, Fernand Hennebicq et Paul Vignaux (voir ces noms) venaient de fonder. Dans les congrès de la Fédération du bâtiment, on parlait beaucoup de Reconstruction, on diffusait les articles du bulletin publié par ce groupe.

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Pour sa part, S.Gora ne comprenait pas pourquoi certains en 1964 restaient CFTC car il pensait que la foi ne concernait pas la vie syndicale. Mais le secteur de Douai était un fief des mineurs CFTC ; la chimie aussi dans sa majorité y était CFTC. Il fallut séparer les bureaux de l’UL, partager les services administratifs, récupérer les fichiers des militants dont la moitié devenait CFDT.

Puis survint Mai 68 : le travail de permanent de S.Gora fut modifié. En qualité de permanent, il siégeait dans les commissions paritaires du Bâtiment qui couvraient le Nord et le Pas-de-Calais ; leurs membres étaient désignés par les structures syndicales régionales. Il représenta également la CFTC-CFDT dans l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) ainsi qu’à la CNRO (Caisse nationale de retraite des ouvriers du bâtiment et travaux publics).

En outre il apportait le point de vue du Douaisis dans les assemblées générales et les congrès de l’Union départementale (UD) CFTC-CFDT du Nord où il joua un rôle actif, participant par exemple le 28 octobre 1967 à la commission « Action internationale ». A cette date il dut alléger son emploi du temps, vu ses responsabilités nationales.

En 1963 il avait été élu par le congrès au conseil fédéral et par celui-ci au bureau exécutif de la Fédération française des syndicats CFTC du bâtiment, des travaux publics, du bois et des matériaux de construction. Les statuts de la Fédération ayant été modifiés en 1966, celle-ci prit le nom de Fédération nationale des salariés de la construction et du bois CFDT (FNCB) ; en outre le conseil fédéral comprit, à coté des élus du congrès, notamment des membres désignés au titre des régions économiques ; pour le Nord, ce fut S.Gora, également élu au bureau exécutif par ce conseil fédéral. Il garda jusqu’en 1975 ces deux fonctions qui impliquaient de nombreux voyages à Paris pour les réunions des deux instances. Quand il arriva au CÉRES, S.Gora demeura un syndicaliste.

S.Gora milita également sur le plan politique. Il avait adhéré en 1977 au Parti socialiste (PS) et devint l’année suivante membre du bureau fédéral entreprise du PS pour le Douaisis, bureau dans lequel il prit la responsabilité des groupes d’entreprise. Il dut en 1983 renoncer à cette responsabilité à cause des réunions qui se tenaient le soir à Lille. Mais il continua à participer aux assemblées et journées d’études qui avaient lieu à Lille ou dans les arrondissements ; il organisa des actions en direction des entreprises automobiles, métallurgie et chimie dans le Douaisis.

Dès qu’il fut à la retraite, S.Gora organisa le Syndicat des retraités CFDT du Douaisis. Il en déposa les statuts, y adhéra et en devint aussitôt le secrétaire, fonction qu’il occupa jusqu’en octobre 2000 ; il resta membre du bureau où il figurait toujours en 2001. Cela ne l’empêchait pas de mener un vie équilibrée, alliant l’arboriculture et le jardinage aux tâches familiales.

S’il put faire face à tant de responsabilités, c’est qu’il eut toujours le souci de se former sur le plan professionnel, comme sur le plan syndical A la CFDT, dit-il, il y avait une politique des hommes : il suivit d’abord les études syndicales par correspondance organisées par la Confédération. Il participa aux deux degrés des Écoles normales ouvrières (ENO) régionales qui duraient cinq jours chaque été. Il alla également au Centre CFDT d’études syndicales à Bierville, près d’Étampes (Essonne) où se tenaient des sessions spécialisées : prévention, comités d’entreprises, cadres syndicaux, session pédagogique relative au contenu et à la conduite des réunions, à leur animation et à leur organisation.

Activités et Compétitions du Club "Les Tireurs du Douaisis"

Les Tireurs du Douaisis sont présents au-delà des frontières hexagonales, comme lors de la coupe du monde junior de Bâle (Suisse). El Habib et Rafael, bien que s'arrêtant prématurément en tableau de 128, ont montré le potentiel du club. Rafael faisait partie de la sélection des Pays-Bas pour la compétition par équipe.

Depuis plusieurs années le club se maintient en deuxième division de l’élite senior homme. Deux circuits nationaux dans l’année décident de la partition des équipes pour les championnats de France, c’est-à-dire si les clubs joueront la montée en 1ère division ou s’ils prendront le risque de quitter l’élite. Cette première partie, déjà décisive, se déroulait à Fontaine près de Grenoble. Pour l’occasion, l’équipe était composée de Lucas Abdellah, Arthur Hochede, Thibault Parpaite et Mathieu Varlet.

Après une victoire et une défaite en poule, les douaisiens réalisent une belle performance en remportant leur première rencontre face à l’équipe de la Garde Républicaine de Paris, 45 à 44. Au tour suivant contre le PUC, une autre formation de la capitale, notre équipe échoue sur le score net de 45 à 31. L’équipe s’inclinera dans les deux matchs de classement suivants contre Rodez puis Saint-Gratien pour terminer à la 8ème place sur les 15 équipes présentes.

Sélectionnés pour le circuit européen cadet à Cracovie, Titouan Chotin et El Habib Abdou étaient les premiers sur les pistes en cette semaine de rentrée. Parmi plus de 200 tireurs, Titouan termine 21ème (3ème français) et El Habib 28 ème.

Le CED organisait une compétition de zone cadet à l’épée qui réunissait 43 garçons et 28 filles. C’est un point critique dans l’organisation d’un tel événement. Au même titre, la compétition n’aurait pas pu être une réussite sans la participation active de tous nos bénévoles, au montage/démontage des pistes, à la buvette, au pointage ou encore à l’arbitrage.

Arthur Houplin, malgré des poules décevantes remporte la compétition. Pendant ce temps là, l’équipe senior participait au 1/4 de finale des championnats de France N2 par équipes à Fontaines, près de Grenoble. Le samedi, l’équipe composée de Lucas Abdellah, Sébastien Hanicotte, Arthur Hochede et Laurent Monpays entrait en lice pour les poules. Les douaisiens s’emparent de la victoire contre Colmar et s’inclinent contre Levallois puis Amiens. Le dimanche, l’équipe élimine Beaumont au premier tour de tableau sur le score net de 45 à 27. Au deuxième tour, l’équipe est battue par St Gratien 45 à 32. L’équipe perdra ses deux matchs de classement et termine à la 8ème place sur 16. C’est un résultat encourageant puisque qu’un deuxième tableau de 8 à la prochaine compétition assurerait à minima le maintien en deuxième division.

Arthur Hochedé, était le seul représentant du club en N1. Sa compétition s’arrête prématurément en tableau de 64, il est défait à la mort subite, par Mounir Melaab Backes de Grenoble qui, dans une forme olympique, terminera sur la troisième marche du podium. En N2, après, d’excellentes poules qui la dispense de premier tour, Marion Guiot perd en tableau de 64 et termine 33ème sur 97. Tour fatidique pour les douaisiennes puisque Lauriane Thomas et Claire Zajac s’arrêtent également à cette étape.

El Habib Abdou réalise un parcours plus que correct alors qu’il n’est que cadet. Au terme de bonnes poules, il enchaîne deux victoires puis s’incline en tableau de 32. Il s’acquitte de la 27ème place sur 103 présents.

Après des championnats de France cadets décevants et des performances individuelles moyennes en Juniors, nos douaisiens avaient à coeur de bien figurer en équipe le dimanche. Quentin Dubroc et Baptiste Betrancourt-Couaillet rejoignent l’équipe masculine.

Défaite d’entrée de jeu sur Levallois 45-43 qui fait basculer l’équipe en N2. Ensuite, Arthur, El Habib, Baptiste et Quentin enchaînent les victoires. D’abord contre Angers sur le score de 45-30, sur un match géré de bout en bout. Ensuite vient le tournant de la compétition : nos tireurs s’imposent sur le fil 45-44 contre E3F Moselle après un finish haletant et angoissant. Le match suivant est moins compliqué et nos bonhommes déroulent contre Caen (45-40). Ouf, la place sur le podium est assurée mais nos tireurs n’ont pas envie d’en rester là.

Sans jamais « rendre lame » sur aucun relais, l’équipe ne parvient pas à contenir les adversaires beauvaisiens qui remportent la demi-finale 45-36. Nos dames auront un parcours moins brillant. Elles sont défaites par Gagny au premier tour 45-30 puis par Colmar 45-34 en N2.

Pendant ce temps-là, à Porec en Croatie, au bord de la mer adriatique, Jean-Paul Boitel représentait la France aux championnats d’Europe Vétéran dans la catégorie des plus de 70 ans. Il réalise une belle 16ème place sur 50.

Ce week-end avait lieu à Toulouse le second et dernier circuit national senior par équipes avant les championnats de France. 16 équipes par sexe concourent en N1 et autant en N2. La ville rose nous accueillait dans son Palais des Sports avec une salle par division. L’équipe homme de Douai est en N2 et elle est cette fois-ci composée de 3 tireurs, Antoine Bertout, Arthur Hochède et Laurent Monpays. La compétition débute par un tour de poules à 4 équipes.

Nous nous inclinons d’entrée sur l’équipe de Nîmes 39-45 après avoir collé au score pendant la plus grande partie du match. Après une prestation encourageante en poules, l’équipe de Vénissieux, très homogène ne nous laisse pas beaucoup d’air et nous défait sur un score sans appel de 45-28 au premier tour. Il nous reste alors à disputer les matches de classement pour se partager les places allant de 8 à 16. Déçus mais pas dépités, nous vainquons Nevers 45 à 42. Les rencontres se suivent et les organismes s’effritent. Il faudra se battre aux championnats de France pour éviter la relégation.

A la veille des premiers championnats de France pour les douaisiens, Laurent Monpays se rendait au circuit national Vétéran de Saint-Denis-de-l’Hôtel près d’Orléans. Toutes nos félicitations à lui puisque c’est avec la médaille d’or des Vétérans 1 en poche que Laurent nous revient du Loiret (parmi 52 tireurs). Pascal Deroussent, en V2 termine 54ème (sur 62) pour sa première expérience au niveau national.

Tandis que le club est représenté au plus haut niveau, on ne néglige pas le volet formation.

Informations sur l'Association "Les Tireurs du Douaisis"

L'association "Les Tireurs du Douaisis" est enregistrée sous le SIRET 44808719700019 et exerce son activité principale dans le domaine des activités de clubs de sports (9312Z). L'adresse de son siège social est CHE DE L ENFANT JESUS STAND TIR DE LA BRAYELLE, 59500 DOUAI, France. L'association est ouverte depuis le 8 mai 1973.

Adresse: CHE DE L ENFANT JESUS STAND TIR DE LA BRAYELLE, 59500 DOUAI France

SIRET: 44808719700019

Activité: Activités de clubs de sports - 9312Z

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