Le paintball, souvent perçu comme un simple jeu de guerre, est en réalité un sport avec ses propres règles, compétitions et fédérations. Par équipe de trois ou cinq, une centaine de personnes se sont affrontées sur le terrain du Karting Paintball de La Ville-aux-Dames, près de Tours.
Équipés de casque, genouillères, coudières, plastron et d'un lanceur, les participants à cette finale régionale de paintball sportif ont tenté de décrocher les places qualificatives pour le championnat de France, qui se tiendra en juin à Puget-sur-Argens (Var).
Le Paintball club Sud Touraine (PCST), qui accueillait l'événement, a réussi à qualifier une équipe. Cette finale constituait en réalité la sixième manche d'une compétition étalée sur l'année.
Une organisation semblable, donc, à celle des sports dits conventionnels, qui colle avec l'état d'esprit de ses adeptes.
« Quand on parle de paintball, la plupart des gens pensent tout de suite à des personnes qui jouent à la guerre dans les bois, note Brice Dechêne, président du PCST. Ce n'est pas ça. On essaie vraiment de se différencier, de montrer que c'est un sport. »
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Et comme le diable se niche souvent dans les détails, rien n'est laissé au hasard afin d'éviter « les amalgames ». Ici, les lanceurs sont de couleurs vives, les tenues militaires restent aux vestiaires et les billes ne contiennent jamais de peinture rouge.
Sur le terrain, des arbitres veillent non seulement à la sécurité, mais aussi aux respects des règles édictées par la Fédération de paintball sportif, dont Brice Dechêne est secrétaire général.
« Le risque de blessure est vraiment minime, c'est pour ça qu'on se dirige vers une pratique autorisée à partir de 12 ans, contre 16 actuellement », précise le jeune homme.
Les équipes qualifiées - en semi 3 : 300 mètres (département 18), Old school (45), Affliction (45) ; en semi 5 : Wathog (45), Renaissance (37), Les 7 nains (28).
Le reball n'interressera pas les locations au sens CE ou enterrement de vie, mais il interressera des équipes qui souhaite progresser ( un autre type de locs, quoi), alors je suit Bab pour considerer qu'il s'agit bien d'un terrain expoitable financierement.
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J'ai bien rajouté le Reball dans la partie des entraînements, il me semble mais est-ce qu'on peut considérer la salle comme un terrain ? Car au final, il y a peu de chance que ca intéresse ceux qui veulent juste faire de la loc, non ?
Le PCST, fondé en 2002, auréolé d'un titre de champion de France en 2005, souhaite aussi attirer le public extérieur. Hier, les conditions météorologiques n'ont sans doute pas incité les curieux à se déplacer en nombre.
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