La Fédération sportive suisse de tir est l'organisation faîtière des tireurs et tireuses suisses. Elle est née en 2002 de la fusion de la Société suisse des carabiniers (fondée en 1824) avec l'Association suisse des tireurs sportifs et la Fédération suisse des ouvriers tireurs.
L’association des TIREURS SUISSES DE LYON a été fondée en 1883 par les jeunes Suisses principalement de Bâle et de Zurich venus à Lyon travailler dans les entreprises de soieries pour y apprendre le métier de soyeux et la langue française. L’association fut intégrée au sien de la Société de Tir de Lyon, dont le Stand (militaire) se trouvait en pleine campagne à la Doua. En 1914 l’association fut dissoute pour renaître début 1927, avec ses propres statuts, avec Monsieur E. NEIDEKER SOUCHON, Bâlois comme Président, et Monsieur E. Monsieur J.B.
Durant de nombreuses années, les exercices de tir eurent lieu dans le garage de l’entreprise de Jean BODMER à 12 mètres au petit calibre avec des armes prêtées par le Département militaire Fédéral. L’année 1970 vit l’inauguration du stand municipal de Gerland utilisé jusqu’en 1999 par de nombreuses Sociétés Lyonnaises. Depuis 2002, après 3 années sans installations, le nouveau stand a vu le jour sur la Zone Aéroportuaire de l’Aéroport de Bron.
Ce nouveau complexe dédié au tir comporte 2 pas de tir; un à 50 m avec 18 postes pour la carabine et le pistolet libre 50 m et un à 25 m avec 20 postes pour les tirs au pistolet. L’équipe actuelle poursuit ses efforts pour la formation des jeunes pistoliers et carabiniers.
En juillet 1995, une équipe de 12 tireurs participa au 53ème Tir Fédéral de Thune qui accueilli près de 80 000 tireurs, puis en juillet 2000, une équipe de 16 tireurs participa au 54ème Tir Fédéral de Bière et en juillet 2005, une équipe de 16 tireurs participa au 55ème Tir Fédéral de Frauenfeld.
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La Fédération sportive suisse de tir affiche 130 000 adhérents. C’est un sport d’adresse et de précision qui utilise comme accessoire une arme mais fait appel à une technique qui requiert un équilibre psychophysiologique, qui exige une culture du corps pour disposer de souplesse, de force musculaire, d’endurance et de contrôle de soi-même.
Cet ensemble devant conduire à un total contrôle permanent simultané du corps et de l’esprit par la personne qui le pratique. Quel que soit le niveau pratiqué (loisir ou compétition) le tireur, s’il veut se surpasser, devra étape après étape gravir les différents composants de cette pratique en travaillant la position de son corps, la tenue de son arme, la respiration, la visée et le lâcher du coup.
C’est aussi une recherche tout à fait personnelle qui explique en grande partie la discrétion des tireurs vis-à-vis d’autrui. La diversité des disciplines, particulièrement riche, reflète le plus complètement possible la multiplicité des comportements humains. Tout un chacun peut y trouver son compte en fonction de sa personnalité et de ses aspirations.
Si le mystère des armes provoque une attirance particulière, la maîtrise de soi même, la précision, et le calme sont sans aucun doute les facteurs principaux de l’attrait qu’exerce le tir sportif auprès d’un grand nombre de personnes de par le monde.
On tire avant tout pour mieux se connaître et mieux se contrôler.
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La loi fédérale sur l'armée fait obligation aux communes de disposer d'une ligne de tir à 300m effectivement pour que les citoyens soldats puissent exécuter leurs obligations. La règle a été assouplie il y a quelques années car certaines communes ne peuvent pas disposer de ligne compte tenu des problèmes liés à la sécurité de la ligne ou aux contraintes environnementales, surtout dans les régions très urbanisées.
Les communes qui n'ont pas de stand doivent alors passer une convention avec une autre commune qui acceptera les tireurs de la commune demanderesse. Plusieurs centaines de stands ont disparu depuis 2000. Les stands de tir dit "fédéraux" sont tenus par des sociétés de tirs des villages en question.
Chaque année, tous les citoyens soldats font leur tirs obligatoires. En gros quand on a fait l'armée et que l'on est toujours en age d'être mobilisé, on doit aller tirer avec notre arme de service une fois par année. Il y a aussi le traditionnel "tir en campagne" une fois par année, c'est à dire un tir ouvert à tous citoyen suisse (ce jour là n'importe qui peut venir tirer dans les stands de tir fédéraux, les armes sont prêtées et les munitions payées par les impôts ). C'est à mon avis pour cette raison qu'il y a un stand de tir dans chaque bourgade.
Dans un pays qui compte environ 130 000 tireurs et 30 000 chasseurs, PROTELL compte environ 13 000 adhérents. En Suisse, au-delà des tireurs, des chasseurs, des collectionneurs et des porteurs d’armes, être amateur d’armes suffit comme motif. Avec une différence pour les étrangers, résidents (si non titulaires d’une autorisation d’établissement), ou non, en Suisse : dans tous les cas l’autorisation est nécessaire.
Une autre particularité est que l’armée est une armée de milice ; tous les hommes de nationalité suisse [2] ont l’obligation de servir et les femmes la possibilité. La grande majorité effectue un service armé. Durant la durée au cours de laquelle s’échelonne le service militaire, soit 9 ans, la personne conserve à domicile, dans le cadre de la loi militaire, son arme de dotation (soit un pistolet, soit un fusil d’assaut, mais possible de déposer l’arme dans un magasin de rétablissement pour éviter de l’avoir à domicile).
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La déclaration consiste dans tous les cas à établir un contrat écrit qui contient des données sur l’acquéreur, l’aliénateur (celui qui se sépare de l’arme) et l’arme. Nécessite un permis d’acquisition d’armes (PAA), rappel : possibilité ouverte à toute personne majeure. Scène courante dans un bus (ou un train) : direction le stand de tir. Arme d’ordonnance personnelle reprise directement de l’armée.
Les motifs principaux d’acquisition d’armes en Suisse sont l’attrait des armes et le tir sportif. Par ailleurs ce statut s’acquiert de 2 manières possibles :
Voici un aperçu des catégories d'armes en Suisse, basées sur la législation en vigueur :
Pour commémorer les 200 ans de la Fédération sportive suisse de tir, une pièce de 20 francs a été frappée. Pour la première fois, un tirage spécial a été fait : Une pièce spéciale avec un relief particulièrement élevé. Une pièce vendue en FDC dans son coffret ou blister.
Depuis 2001, et la pièce du Couvent de Müstair, la pièce FDC est vendue sous blister. Coffret courant. Coffret courant avec signature de l'artiste. Numéroté de 0001 à 0250 (Soit 250 exemplaires). Coffret spéciale avec pièce d'une Once avec Haut relief.
Cette Monnaie fédérale Suisse a également émis une pièce spéciale avec un relief particulièrement élevé. La pièce est logée dans un élégant cadre flottant avec le certificat d'authenticité numéroté, chaque certificat ayant sa propre couleur.
Cette monnaie spéciale n'a été proposée que lors du salon des monnaies de Zurich et n'a qu'un tirage de 1 000 pièces. Pour la première fois, une once d’argent fin a été utilisée au lieu des 20 g habituels.
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