C’est avec un certain étonnement que j’ai découvert ces derniers jours le drama zétético-woke qui s’est joué à l’issue des Rencontres de l’Esprit Critique (REC 2022) de Toulouse le week-end dernier ; une assemblée réunissant, au terme d’efforts louables, diverses chapelles de la Zététique (mais pas toutes, une fraction victimaire s’en étant exclue d’elle-même).
Il faut savoir en effet que le mouvement zététique traverse depuis plusieurs années de vives tensions internes, dues notamment à des positionnements qualifiés de part et d’autre d’idéologiques. Pour résumer cet épisode en deux mots, les néofems leur envoient le feu nucléaire parce qu’ils ont tenté une petite blague potache avec un des leurs (Astronogeek, qu’elles regardent comme s’il était le diable) qui s’était revêtu sur scène, pendant quelques minutes, d’une camisole de force (« Et ouin ouin, et que c’est de la psychophobie, et gnagnagna »).
En accueillant des néo-féministes en son sein, cette frange bienveillante du Zététisme de la gauche et du centre aura alors commis une confusion regrettable pour elle - car c’est sur elle que pleuvent aujourd’hui d’énormes boules puantes -, une confusion, dis-je, entre les femmes, qui ont toute leur place dans le mouvement zététique, et les néo-féministes, qui déjà ne sont pas nécessairement des femmes (les plus violents wokistes, ceux qui menacent de mort, étant généralement des hommes), mais des idéologues et des activistes d’extrême gauche avec un agenda bien précis !
Une femme biologique n’est pas une idéologie gauchiste, qu’on se le dise ; je me dois sans cesse de dénoncer cet amalgame fâcheux 😉 ! Comment ces Zets ont-ils pu oublier un seul instant que les néo-féministes n’avaient qu’un seul ennemi sur terre : l’homme blanc occidental et sa Raison héritée des Grecs ?
Si les Zets qui prennent aujourd’hui publiquement la parole se trouvent être pour leur plus grand malheur des hommes, blancs, occidentaux, hétérosexuels, cisgenres, de plus de 40 ans (plus de 50, on n’en parle même pas, c’est la mort au bout du fusil), pères de famille, rationnels, au QI élevé et/ou appartenant aux classes favorisées, ils sont de facto les ennemis de classe (et de race et de genre) des néo-féministes ! Ils sont par définition des cibles à abattre et elles ne leur laisseront aucun répit !
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Il faut bien avoir en tête que l’arsenal militaire néo-féministe est rempli à ras bord de redoutables armes à fragmentation : leur catalogue interminable de « phobies » imaginaires en tous genres - elles en inventent dix par jour (« ouin, ouin, ouiiiinnn !!! »), grâce auxquelles elles n’en finiront jamais de vous poursuivre dans vos retranchements les plus sincères ou les plus rationnels. Puisque-C’EST-LEUR-PRO-JEEEET ! Vous abattre !
Il ne faut jamais oublier non plus que le logiciel néo-féministe vomit la civilisation occidentale issue des Grecs, de la logique et de la raison (je ne reviendrai pas ici sur leur célébration ininterrompue des sorcières, par exemple). Andrea Nye, Words of Power.
Cette vidéo récente, où une néo-féministe zététicienne défend l’irrationnalité à visage découvert, devrait vous mettre la puce à l’oreille, amis zététiciens : vous avez laissé entrer le loup dans la bergerie, ou plutôt les termites dans la cabane !
Les néofems sont en train de faire leur nid pour tout ronger et tout grignoter - rien que l’emploi de l’écriture inclusive devrait être pris pour une alerte sérieuse : il signifie que le processus de destruction est en place ! Des fondations jusqu’à la toiture, elles ne laisseront rien debout, puisque encore une fois, elles haïssent fondamentalement tout ce que vous êtes.
Amis zététiciens, je m’en remets à vous pour nous protéger du programme de guerre des sexes et de l’intellect mis en œuvre par les néofems ; de grâce, ne leur servez plus la soupe, mais regardez-les bien en face pour ce qu’elles sont : des racistes et des sexistes qui ont trouvé un angle d’attaque imparable pour vous ravager de l’intérieur.
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Leurs techniques de harcèlement sont également les plus efficaces au monde car elles consistent, à grands renforts de bassines de larmes de crocodile, à rabattre tout ce que vous penserez ou direz sur ce que vous êtes biologiquement, intellectuellement et socialement - des données sur lesquelles vous n’avez pas de prise et dont vous n’avez de toutes façons pas à vous justifier.
Elles s’en prendront aussi à vos vies privées, car elles confondent le débat d’idées et le cyber-harcèlement. Et même si vous vous suicidez, elles ne vous lâcheront jamais et continueront à vous persécuter ; les néofems ayant un goût immodéré pour attaquer les morts (une manière pour elles de se prémunir de procès en diffamation - voyez par exemple comment elles traitent la mémoire de Picasso).
Un dernier mot : je n’écris pas ce billet en tant que zététicienne, je ne suis qu’une observatrice extérieure des faits. Je ne les représente donc aucunement et mes opinions n’engagent que moi et n’ont pas à être amalgamées aux leurs (qui sont de toutes façons très diverses, puisque certains défendent becs et ongles les neofems).
Ne suivant pas de très près l’actualité de la Zététique, j’ignorais qu’elle était d’ores et déjà tombée aux mains de l’Église de la Pleurnicherie Perpétuelle, comme j’appelle la secte des bigotes féministes, avec ses espaces non mixtes de fausses victimes du « patriarcat », qui s’écoutent pleurnicher en rond sur fond de sorcières et « d’oppressions systémiques » en carton - en écriture pour débil.e.s, comme il se doit.
Je découvre aussi que le Féminismo-Zététisme est déjà constitué en Politburo de la Vertu Morale et Sexuelle, où l’on traque sans répit toute trace de « sexisme », même la plus infime et où l’on oblige tout libertin ou tout esprit libre à battre sa coulpe et s’autoflageller ad vitam s’il veut être absous et continuer d’appartenir à l’Église Zététicienne des Bonnes Mœurs Bienveillantes.
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Et encore, il restera traité à vie comme un pestiféré s’il ne communie pas à la tarte à la crème de la « culture du viol »… Bref, la situation était en réalité bien pire que ce que tout ce que j’avais pu imaginer.
Tout ce que touche l’idéologie néo-féministe, elle l’empoisonne, le détruit de l’intérieur et le tue à brève ou moyenne échéance (l’Université, le Festival de Cannes, les César, … et maintenant la Zététique 🙁 ).
Que la Zet en soit à ramper devant un aréopage de névrosées juste bonnes à taper leur crise d’hystérie et lancer des lynchages publics pour une pauvre blague prétendument « psychophobe » n’était donc pas un épiphénomène comme je l’ai cru innocemment… mais le signe que le cancer avait métastasé depuis longtemps et que la Zététique était déjà officiellement en état de mort cérébrale.
La TEB (= la « Tronche en biais » = la branche officielle et monétisée de la Zététique) a choisi son camp et, désormais convertie au néoféminisme le plus crasse, milite ouvertement pour les pires falbalas de l’idéologie du genre (« Personne ne peut distinguer un garçon d’une fille si on ne dispose pas de son caryotype ou de ses gamètes, ou si on ne peut inspecter personnellement le fond de son slip »; « La biologie n’a aucune valeur, seules comptent les sciences humaines et le ressenti de chacun »; « Pour savoir si un individu est de sexe féminin ou masculin, le seul moyen autorisé est de lui demander », etc. - je caricature à peine, c’est dans cette vidéo).
L’esprit critique peut donc mourir un peu plus chaque jour. Sur le même sujet, l’enquête d’Anne-Sophie Nogaret pour le journal Marianne (« Quand le wokisme s’infiltre même chez les scientistes », 17/09/2022) qui parvient aux mêmes conclusions.
Un des paradoxes les plus saisissants, chez les Gender feminists (féministes idéologues du genre), notamment chez certaines lesbiennes agressives de type Coffin, ou certains « transgenres FtM » (« hommes à vagin ») tout aussi agressifs de type Preciado, est tout à la fois leur misandrie décomplexée (« Tous les hommes sont des violicideurs et des féminicideurs en puissance ! ») et leur survalorisation fantasmatique du masculin (« Je suis un homme comme les autres ; à moi le pouvouââr !! ») - avec pour corollaire leur guerre déclarée à la féminité et aux femmes elles-mêmes ; ce qui pourrait surprendre au premier abord.
Dans ce sillage, on voit proliférer pléthore de discours sur le genre et la transidentité qui poussent un nombre toujours croissant de jeunes femmes à vouloir renier ou abolir leur condition féminine afin de « devenir » des hommes.
Les mêmes qui veulent voir les hommes morts (« Mort aux mecs ! », « Kill all Men ! ») sont subjuguées par une « domination masculine » fantasmée au dernier degré dont elles veulent obsessionnellement s’emparer - comme si les femmes étaient par nature et depuis toujours entièrement dépourvues de toute forme de pouvoir.
Moi qui suis une femme assumée, qui me suis toujours sentie forte dans ma nature de femme, cette complainte larmoyante et victimaire de plus en plus folle et de plus en plus féminophobe m’apparaît aussi incompréhensible que déprimante.
Pourquoi de plus en plus de jeunes femmes décident-elles de « transitionner » ? Comment en est-on arrivé là et pourquoi cela semble-t-il empirer chaque jour ? Il me faut commencer par résumer ce que cette situation doit directement au néo-féminisme, avant de développer ce qu’elle révèle encore de la nature profondément toxique de cette idéologie.
Le féminisme a détruit la cellule familiale, assassiné la paternité, encouragé la maternité sans père et sans repères et mis au monde des générations entières de filles sans référent masculin pour se construire psychiquement. Des filles que l’on verra parfois, au sortir de l’adolescence, se transformer elles-mêmes en hommes (j’en connais) ou devenir lesbiennes, comme si elles se sentaient tenues, inconsciemment, de suppléer en personne à cette absence de figure masculine constructive.
Pour autant, je ne saurais dire quel rôle a joué exactement l’absence de père dans ce processus, n’étant pas spécialiste du sujet (je m’interroge seulement, puisque je ne connais pas de lesbienne dans mon entourage, quel que soit son âge, dont le père a été présent ou a joué le rôle espéré - si vous en connaissez, dites-le moi dans les comms).
Même s’il est difficile de distinguer l’œuf de la poule, le féminisme produit du trouble mental, tout en étant lui-même une conséquence des troubles psychiques. Un cercle vicieux qui trouve actuellement son illustration parfaite dans la jeune femme née d’une « femme libérée des années 80 ♫ » (puis 1990, puis 2000), c’est-à-dire élevée sans père (« Elle a fait un enfant tou-ou-te seule ♪ ») et qui, arrivée à l’âge adulte avec des troubles psychiques importants (allant de la dépression à l’anorexie), va trouver dans le féminisme une église et un refuge pour exprimer sa souffrance et sa rancœur vis-à-vis de la gent masculine.
Le féminisme n’est pas un « empouvoirement », mais un « dépouvoirement » de femmes qui ont perdu la guerre de la compétition sexuelle à partir du moment où elles ont renoncé à la séduction, à la maternité voire même à l’hétérosexualité quand ce n’était pas dans leur nature profonde.
Je considère en effet qu’il existe deux sortes de lesbiennes : celles qui le sont pour des raisons biologiques et congénitales - comme il en va de l’homosexualité masculine - parce que durant leur gestation, des influx hormonaux (ici d’androgènes), ont modelé leur cerveau en ce sens.
Ces données biologiques irréversibles déterminent ensuite non seulement leur « genre », mais leur orientation sexuelle - et il n’y a rien à en dire, c’est la nature, c’est comme ça (sur ce sujet voir notamment les travaux de Jacques Balthazart, qui montrent que l’orientation sexuelle trouverait sa source dans les noyaux cérébraux de l’aire préoptique, dont la taille est déterminée par la testostérone prénatale).
Et il y a les lesbiennes idéologiques, ces féministes militantes qui font du prosélytisme lesbien alors qu’elles ne sont pas de « vraies » lesbiennes. Non merci. D’une part, l’orientation sexuelle ne se commande pas et d’autre part, je n’ai pas d’ordre à recevoir.
Ces femmes qui se sont elles-mêmes mises en retrait du marché amoureux, qui pleurent dans leur coin sur leur misère féministe au lieu d’aller au combat, de se frotter aux hommes (c’est une image !), ont en réalité déposé toutes leurs armes et renoncé à toute forme de pouvoir (car le pouvoir des femmes sur les hommes est évidemment immense depuis toujours - mais pour le savoir, encore faudrait-il être capable de s’extraire de ses jérémiades).
Ce sont des perdantes, des femmes condamnées à se lamenter ad libitum en regardant passer le train de la vie. On pourrait dire un mot aussi de l’injonction faite aux adolescentes de singer les hommes en misant tout sur leur carrière professionnelle et en reculant sans cesse leur projet de fonder une famille - jusqu’à devoir y renoncer, une fois leur fertilité en berne (l’endométriose fait en ce moment des ravages chez les trentenaires, mettant en péril leur capacité à procréer - cf. « Ça a détruit un peu ma vie » : Enora Malagré, pas d’enfant à 41 ans et anéantie).
D’autant que l’on sait que tout miser sur sa carrière n’empêche pas de finir seule et dépressive, comme le montrent les chiffres : les cadres les plus malheureuses sont les femmes célibataires sans enfants - même quand leur vie professionnelle est une réussite.
C’est un des aspects les plus délétères et les plus honteux de l’idéologie féministe, car celle-ci cible prioritairement des enfants (avec la complicité de l’Éducation Nationale) et des adolescentes fragiles en devenir.
Les adolescentes sont terrorisées par un discours absolument mensonger et 100 % sexiste sur la « masculinité toxique » qui essentialise honteusement les garçons, les présentant tous comme des criminels en puissance qui n’en voudraient qu’à leur vertu ou leur vie.
En attendant, cette terreur est telle qu’elle finit par perturber un grand nombre de jeunes femmes en souffrance - pour des causes diverses, dont souvent le manque de père - et qui, au-delà de l’anorexie ou de difficultés parfois causées par des caractères autistiques ou Asperger (assez fréquent chez les vraies lesbiennes ; probablement une forme du « cerveau masculin » de Simon Baron-Cohen), vont alors se tourner vers le changement de sexe.
Caroline Eliacheff et Céline Masson parlent justement et courageusement de cette nouvelle épidémie dans leur dernier livre,...
Les opinions sur Astronogeek sont partagées. Certains le considèrent comme quelqu'un de valable et courageux, affichant son opinion pro port d'arme malgré sa communauté. D'autres le trouvent hautain, méprisable et trop orienté à gauche.
Il existe une discussion animée sur le droit à l'autodéfense et le port d'armes. Certains militent pour le droit à l'autodéfense, argumentant que la liberté n'est pas gratuite et que la seule alternative est de confier sa vie à des voleurs encore plus gros, qui se réservent le monopole de la violence.
D'autres s'opposent à l'autorisation du port d'armes, craignant que cela n'entraîne une augmentation de la violence, comme c'est le cas aux États-Unis. Ils soutiennent que cela mènerait à des milliers de morts chaque année à cause des accidents, des violences domestiques et des carnages collectifs.
Cependant, certains soulignent que la violence en Amérique est un débat beaucoup plus complexe que le simple débat sur le port d'armes et que la Suisse, avec un nombre d'armes par habitant similaire aux États-Unis, a significativement moins de violence.
Certains mettent en avant la nécessité de décentraliser et de former des communautés de gens qui se connaissent tous. De cette manière, les vulnérables seront entourés de personnes qui tiennent à elles. La sécurité n'est possible qu'au sein d'une communauté soudée.
Ils prônent des petites communautés solidaires, sans lois hors sol imposées par des politiciens dans une lointaine capitale, avec un pouvoir local exercé par des gens dont il est facile de vérifier la réputation. Ils estiment qu'il faut favoriser le commerce, la paix et la prospérité, former les gens à l'auto-défense et à la défense de leur communauté.
L'entraide ne fonctionne que dans un monde où on est incité à s'entraider : petites communautés solidaires, pas de lois hors sol imposées par des politiciens dans une lointaine capitale, pouvoir local exercé par des gens dont il est facile de vérifier la réputation.
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