La calibration d'écran est essentielle pour tous ceux qui travaillent avec des images, que ce soit pour l'impression ou la diffusion en ligne. Pendant longtemps, on vous répondait que c'était indispensable, et c'est toujours le cas aujourd'hui pour les professionnels et les passionnés.
Pour s'assurer que l'appareil de reproduction des couleurs qu'est un écran fonctionne dans des conditions optimales, il faut d'abord le calibrer ou plutôt l'étalonner, c'est-à-dire qu'il faut optimiser son fonctionnement de base et le placer dans des conditions de travail connues et si possible stables. On calibre son écran pour qu'il soit "bien" réglé (luminosité, contraste, etc.). On dit "étalonné".
Même si on objectera de plus en plus que les écrans sont meilleurs maintenant et que les smartphones et les tablettes ne peuvent pas être calibrés, je vous assure qu'il sera impossible de faire une comparaison sérieuse entre une image affichée sur son écran et un tirage ou pire, l'échantillon d'un nuancier, sur un écran entrée ou moyen de gamme, qui plus est non calibré.
Tant que l'on a pas besoin de faire une comparaison entre deux choses, effectivement, j'en conviens volontiers, on pourrait se passer de calibration. Oui, mais il y a tous les autres cas et, accessoirement, le plaisir de voir s'afficher des gris parfaitement neutres et un ciel bleu "naturel". Pour ses "irréductibles", passionnés ou tout simplement les professionnels, il faut bien entendu calibrer !
La calibration d'un écran se déroule en deux étapes principales : l'étalonnage et la caractérisation.
Lire aussi: Trouver une armurerie en France
Pour s'assurer que l'appareil de reproduction des couleurs qu'est un écran fonctionne dans des conditions optimales, il faut d'abord le calibrer ou plutôt l'étalonner, c'est-à-dire qu'il faut optimiser son fonctionnement de base et le placer dans des conditions de travail connues et si possible stables. Avec un écran qualifié de non "art-graphique" c'est-à-dire presque tous les écrans, cela se fait par l'intermédiaire des touches Menu OSD de l'écran et de la sonde qui sert pendant cette étape d'outil d'étalonnage. Une série de fenêtres colorées (RVB + d'autres mélanges de couleurs) apparaît à l'écran pour permettre cet étalonnage.
Un des points les plus importants est de savoir si le logiciel offre la possibilité de contrôler précisément la quantité de lumière qu'il doit émettre, au maximum et au minimum. Puisqu'un écran peut être réglé entre 0 et 400 cd/m² (le plus souvent), à quel niveau de luminosité faut-il le régler ? Est-ce que cela dépend de la luminosité de la pièce ? Peut-on le faire à l’œil ? De ce que l'on fait comme travail sur nos images ? Enfin, faire en sorte qu'il affiche la plus large gamme de couleurs possible (son gamut).
En aucun cas ces réglages ne peuvent se faire à l'œil nu car l'œil, s'il est un excellent comparateur, est très mauvais dans l'absolu.
Un point souvent négligé est le réglage de la luminosité de l'écran de telle sorte que la luminosité de la photo à l'écran soit proche de celle de la photo imprimée. Ce réglage ne peut se faire à l'œil nu, comme pour la correction des dominantes colorées, et nécessite donc une sonde de calibration qui va mesurer précisément le vrai niveau de luminosité de l'écran selon les directives que vous aurez données au logiciel.
On observe deux cas de figures : si vous imprimez vos photos et si vous diffusez vos photos uniquement sur Internet. Dans le premier cas, celle-ci devrait être idéalement proche de 80/100 candelas au m², (Cela va dépendre de votre environnement lumineux et de la lampe qui éclaire votre tirage), afin que la luminosité de votre tirage soit très proche de la luminosité de votre photo sur votre écran. De la même manière, si vous ne faites que partager vos photos en ligne (site Internet, blog, réseaux sociaux, etc.) alors il ne faut pas non plus être trop éloigné des réglages écran de ceux qui admirent vos photos.
Lire aussi: Pourquoi la calibration est essentielle
Ce point, presque tout le temps négligé, devient crucial si vous faites des comparaisons écran / tirages. Le réglage du contraste de l'écran se fait en réglant le niveau du noir le plus sombre de votre écran. Cela peut donc poser problème pour la calibration des écrans d'ordinateurs portables qui ne possèdent jamais ce réglage. La sonde doit donc automatiquement s'en charger... normalement !
Si vous travaillez essentiellement pour Internet ou que vous ne rechignez pas à regarder un épisode de votre série préférée sur Netflix, choisissez toujours : "Contraste natif" qui vous offrira le contraste maximum qu'est capable de fournir votre écran donc le noir le plus profond que votre écran est capable "d'afficher". En revanche, si vous imprimez régulièrement ou que vous cherchez une bonne correspondance écran / tirage, alors choisissez un contraste pas trop élevé. Exemple : un contraste de 300 : 1 correspond à un papier qui possède une Dmax de 2,5. Vous voyez ainsi que même sur un papier Gloss, elle n'est pas très importante et il n'est donc pas nécessaire que votre écran affiche un contraste trop important.
Comme je l'explique sur ma page consacrée à ce point capital et que je vous invite donc à lire, le gamma idéal, situé entre 1,8 et 2,6 et souvent réglé à 2,2 va dépendre de nombreux critères comme votre environnent de travail, sa luminosité, la nature de votre travail (photo ou vidéo Youtube, vidéo Broadcast), etc.
À noter qu'une fois l'écran caractérisé - c'est-à-dire "profilé" -, il ne faudra pas toucher à ces réglages d'étalonnage sinon, il faudrait refaire la caractérisation, donc recréer un autre profil ICC pour ces nouvelles conditions de calibrage / d'étalonnage.
Comme on l'a vu sur les pages consacrées aux généralités de la gestion des couleurs, tous les appareils de reproduction des couleurs les reproduisent avec des dérives qui leur sont propres. On voudrait que l'écran affiche un gris parfaitement neutre et il affiche un gris avec une très légère dominante comme sur la photo ci-contre, sans compter les défauts de l'imprimante, etc.
Lire aussi: Sonde de calibration : location
Prenons un exemple : si j'envoie un signal RVB du type 128, 128, 128 vers un écran non calibré, il y a très peu de chance qu'il affiche un gris parfaitement neutre (même s'il y a du progrès depuis dix ans). Il est fort probable qu'il affichera un gris avec une très légère dominante colorée (rougeâtre, verdâtre etc.).
La sonde va mesurer cette "vraie" couleur affichée (donc sa valeur L*a*b*) et placer l'information dans un petit fichier spécial : le profil ICC de cet écran. Avec ce profil ICC ainsi créé, Photoshop, par exemple, saura quel signal RVB corrigé donc R'B'V' envoyer vers cet écran pour qu'il affiche la bonne couleur L*a*b*, ici un gris vraiment neutre, en tenant compte de ses défauts. Quand je voudrai afficher ce gris neutre sur cet écran, dorénavant, la carte graphique devra lui envoyer un signal du genre - 124, 128, 126 - pour tenir compte de sa caractéristique colorimétrique dans cette valeur de gris (de son défaut sur CE gris), qui est, en l'occurrence, un défaut très léger dans les rouges et verts.
C'est donc pendant cette deuxième étape qu'est réellement créé le profil ICC de l'écran, compte tenu des réglages qui ont été optimisés à l'étape précédente, c'est-à-dire pendant l'étalonnage. On va maintenant mesurer les caractéristiques couleurs du moniteur placé dans des conditions de fonctionnement "idéales" ou en tout cas connues et précises (Idéales sous entend que l'on aurait alors plus besoin de "profiler" l'écran).
Toutes les dérives des couleurs affichées à l'écran par rapport aux couleurs L*a*b* idéales vont être soigneusement notées dans ce fichier spécial, le profil ICC de cet écran. Quand la carte graphique voudra afficher telle ou telle couleur L*a*b*, de votre photo elle saura exactement quel signal RVB "corrigé" lui envoyer afin qu'il les affiche correctement, en tenant compte de ses fameuses caractéristiques (ce que j'appelle trivialement ses défauts).
Les couleurs que peut afficher un écran sont effectivement très nombreuses - un très bon œil peut distinguer, je le rappelle près de 8 millions de couleurs dans le meilleur des cas ou pour les meilleurs paires d'yeux ! Avec l'œil, ce réglage ne peut-être qu'approximatif même si cela fait parfois illusion car le gamut d'un écran n'est pas très large - même s'il augmente avec les nouvelles technologies d'affichage par LED.
Attention ! Si vous faites la caractérisation avec votre œil - donc sans sonde - vous ne ferez qu'une comparaison et non une mesure. Cette étape est donc impossible avec les logiciels d'étalonnage gratuits basés sur la comparaison de patchs colorés.
Il existe plusieurs sondes de calibration sur le marché, avec des prix et des fonctionnalités variables. Il est important de choisir une sonde adaptée à vos besoins et à votre budget.
Il faut éviter d'acheter les sondes premiers prix (Spyder3 ou 4Express ou encore ColorMunki Smile) vraiment peu recommandables - avec une exception acceptable, la Display 123 de Calibrite sortie en mars 2024 et qui est enfin recommandable... L'appellation Pro ou Elite est trompeuse chez Datacolor : il n'y a pas de sondes amateurs et de sondes pro; Il y a des sondes qui fonctionnent très bien, quelque soit l'écran, et des sondes tellement simples que le calibrage est souvent mauvais et aléatoire. Elles sont donc difficiles à conseiller.
Calibrez entre 80 et 100 cd/m² si vous travaillez des images en vue d'une impression (et dans un environnement adapté donc pas trop lumineux) sinon augmentez et travaillez à 120/160 cd/m² si vous retouchez des images essentiellement pour Internet ou que vous faites du montage vidéo.
Il est tout à fait possible de calibrer plusieurs écrans, ce qui peut être très utile pour les professionnels qui travaillent avec plusieurs moniteurs. J’adore travailler avec trois écrans. Sûrement ma passion pour le format panoramique ! Cela présente de nombreux avantages dont un va apparaître à la lecture de cet article mais cela a un inconvénient : cela peut coûter cher !
Voilà pourquoi j’ai fais le choix d’un écran principal haut de gamme et de deux écrans plus bas de gamme installés de part et d’autre. Il y a deux ans j’ai jeté mon dévolu sur les HP 23 Xi à dalle IPS car ils étaient à moins de 200 € et ce fût une heureuse surprise. Je n’avais donc pas besoin qu’ils soient très bons colorimétriquement parlant. J’ai juste choisi des écrans à dalle IPS parce qu’il ne faut tout de même pas exagérer !
Comme naturellement j’aime avoir trois écrans devant moi pour la productivité que cela me procure mais également pour la vision panoramique que cela m’offre - on ne se refait pas ! - j’ai fais le choix d’un excellent écran aux couleurs justes (donc cher!) et deux écrans plus bas de gamme voire bas de gamme pour le seconder.
En cherchant un peu, je me suis vite aperçu qu’il y avait tout de même moyen de sauver les meubles et de ne pas tout sacrifier sur l’autel du prix. Sans rentrer dans les détails, la technologie TN coûte la moins chère et possède surtout comme défaut d’offrir une image au contraste très différent selon l’orientation de notre tête. Pour nous photographes, c’est vite très désagréable. Je déconseille vraiment.
La technologie VA améliore sérieusement les choses mais sans me convaincre complètement. Je déconseille également, même en 2015. Reste la technologie IPS, parfaitement adaptée pour nous autres car elle est peu ou pas sensible à notre orientation par rapport à l’écran. Vous et quelqu’un assis près de vous aurez la même vision, sans changement notable de contraste ou couleurs. Or aujourd’hui, ils existent des écrans à dalle IPS peu chers.
Voilà pourquoi j’ai choisi parmi les écrans à moins de 250 € il y a trois ans et moins de 200 € aujourd’hui ces écrans HP 23Xi. Restait à les calibrer pour que leur affichage ne soit pas totalement à l’ouest par rapport à mon écran « Art Graphique » Quato. J’ai donc entrepris le calibrage de mes deux écrans car comme je l’explique dans un précédent article, on ne peux partager le profil ICC d’un écran même avec un modèle identique. Cela ne fonctionne pas.
Les sondes sont généralement fournies avec un CD, pour Windows et MacOS, permettant d’installer les drivers et le logiciel qui effectue les réglages. Pour ceux utilisant un système GNU/Linux il existe un logiciel, DisplayCAL capable de réaliser ces opérations et qui fonctionne avec la plupart des sondes.
Cochez la référence correspondant à votre sonde, puis cliquez sur automatique. DisplayCAL fonctionne avec un logiciel de gestion des couleurs, ArgyllCMS, si celui-ci n’est pas déjà installé sur votre système, il vous demande de le télécharger. Une fois que tout est ok vous pouvez brancher votre sonde, si ce n’est déjà fait, et cliquer sur le picto permettant de la détecter. Une fenêtre Zone de mesure s’ouvre. Cliquez sur Commencer la mesure.
La première fenêtre qui s’ouvre va permettre de définir le point blanc. Il vous faut après régler, via le menu de votre écran, les valeurs de luminosité et des canaux RVB pour approcher au plus prêt la zone ciblée. Ces mesures peuvent prendre un certain temps, pour ma part quasi une heure pour terminer l’étalonnage. Au final vous obtenez un profil icc propre à votre écran.
Il n’existe qu’une seule solution pour calibrer un écran : un colorimètre. Cet instrument de mesure communément appelé sonde de calibrage permet de mesurer objectivement les couleurs affichées par votre écran. Le principe est simple : on branche, on lance le logiciel de la sonde, celle-ci mesure les couleurs affichées par l’écran et crée ce que l’on appelle un profil ICC.
Important : Avant toute calibration, veillez à laisser allumer votre écran pendant environ 30 min afin que celui-ci se stabilise, en effet pendant les premières minutes, la teinte de votre écran peut changer. Veillez également à bien désactiver sur votre ordinateur tous les paramètres qui ajustent automatiquement la luminosité de votre écran, ils sont incompatibles avec le principe même de l’étalonnage.
2) Une fois ceci fait, nous allons passer directement en mode « Avancé ».
3) Pour commencer nous allons rentrer dans la partie « Caractérisation », en haut à gauche de la fenêtre.
4) La première chose à faire est de cliquer sur l’écran que vous souhaitez calibrer, puis de choisir (juste en dessous) la technologie de cet écran. Pour se faire nous vous joignons un texte d’Arnaud Frich, spécialiste reconnu de la gestion des couleurs, qui nous a gentiment autorisés à reprendre ses écrits.
La matrice couleur sur laquelle se base le profil de votre écran n’est pas la même. Il peut donc réellement y avoir des différences de calibrage visibles sous la forme d’une dominante. La technologie CCFL est la plus répandue dans les anciens écrans plats puisqu’il s’agit d’une technologie « type néon ». En revanche, de plus en plus d’écrans sont fabriqués avec de nouvelles technologies à base de LED, blanches ou RVB. Si votre écran est à technologie LED sans spécification, il s’agit vraisemblablement de LED blanches : iMac, MacBook Pro 2011 et suivants, nombreux écrans large gamut récents (2012 et suivant).
5) Prochaine étape, la sélection du point blanc. Si votre écran est de qualité, vous pouvez choisir D50 (l’idéal) ou D55. Si ce n’est pas le cas, alors nous vous conseillons de régler manuellement la température de couleur autour de 5800K , ce qui est un bon compromis.
6) Le point suivant concerne le réglage de la luminance, c’est un point très important ! En effet si votre écran est trop lumineux (ce qui est le cas d’un écran non calibré), votre tirage sera trop sombre ; un classique. Il est donc essentiel de baisser la luminosité de votre écran. Pour se faire nous vous conseillons une luminance entre 80 et 100cd/m².
10) Nous vous conseillons de désactiver le contrôle actif de l’éclairage ambiant mais d’essayer de travailler dans un environnement dont les conditions lumineuses varient peu. Si celles-ci ont tendance à changer en permanence, alors vous pouvez cocher la case.
Si vous faites un peu (ou beaucoup) de post-traitement comme je vous le recommande, vous êtes forcément attaché aux contrastes et aux couleurs de vos images : vous avez travaillé dessus pour avoir exactement le résultat que vous souhaitiez, allant ainsi au bout de la démarche photographique. Mais il peut vous arriver que vos couleurs chéries s’affichent mal après l’export, sur d’autres écrans ou à l’impression.
Grâce au calibrage, l’écran affiche un rendu fidèle des couleurs et de la luminosité des images. En effet, pour que les couleurs soient bien rendues ailleurs, la première étape est déjà qu’elles soient bien rendues chez vous, c’est-à-dire que votre développement RAW s’effectue sur un écran qui rend bien les couleurs. Ce ne sera jamais le cas par défaut.
Si vous avez déjà fait une ou deux recherches sur le sujet, vous avez dû tomber sur les sondes Spyder de Datacolor, qui sont les plus connues. Datacolor m’avait gentiment prêté une Spyder 4 Elite à l’époque, l’exemple est donc effectué avec cette sonde, mais le processus de calibrage est de toute manière très simple et se ressemble beaucoup entre les sondes.
Cela dit, il vaut mieux calibrer, même avec une sonde entrée de gamme, plutôt que de ne rien faire du tout. Si votre budget est vraiment serré, vous pouvez vous tourner vers des Spyder 4 ou 5 d’occasion, qui restent très correctes.
Essayez de faire le calibrage dans les conditions les plus courantes de travail sur vos images. Pour que la sonde tienne bien collée à l’écran pendant le processus, il faut souvent pencher un peu l’écran vers l’arrière. La plupart des écrans permettent maintenant de le faire, mais si ce n’est pas le cas, calez simplement un truc en dessous pour le pencher.
Si vous avez choisi la version Elite, après environ 1 minute, le logiciel vous demandera de régler la luminosité de votre écran. Il suffit d’appuyer sur le bouton consacré sur votre écran (en général ce n’est pas trop dur à trouver, souvent assez évident dans le menu de l’écran), et de faire varier jusqu’à ce que ça atteigne la valeur cible, soit 120 cd/m². Ensuite, le reste du processus est entièrement automatique.
Il a pris environ 7 minutes chez moi avec une Spyder 4 Elite, ce qui n’est pas trop long et heureusement, car vous devrez vérifier l’étalonnage et le refaire environ tous les mois, car les écrans ont tendance à avoir des couleurs qui dérivent avec le temps. Après, il vous reste juste à enlever la sonde de l’écran, et à la placer sur son support devant l’écran, ce qui va lui permettre de mesurer régulièrement la lumière ambiante.
Si vous êtes sous Linux, le logiciel ne fonctionnera pas. Dans ce cas, vous pouvez utiliser l’excellent utilitaire dispcalGUI, qui malgré son nom barbare donne d’excellents résultats, mais prend (beaucoup) plus de temps pour calibrer l’écran.
Vos couleurs s’afficheront donc maintenant correctement sur votre écran, ce qui est la base de la base ! Alors si vous regardez d’anciennes images, vous pourriez constater des couleurs différentes de celles que vous aviez auparavant, forcément. Mais dites-vous que ce sont maintenant les bonnes couleurs qui sont affichées, et que ça vous évitera tout désagrément à l’avenir ! Ça va également tout changer dès que vous aller imprimer 🙂
tags: #arnaud #frich #calibration #comment #faire