L'Armurerie du Bocage, située à La Chapelle-Achard, exerce toutes activités d'armurerie et d'archerie. Elle propose également la réparation, la manipulation et le conseil sur l'utilisation des armes et des arcs.
Fondée le 27 juin 2017, l'Armurerie du Bocage est une SARL dont le siège social est situé au 2 bis, impasse de l'Atlantique, 85150 La Chapelle-Achard. Son capital s'élève à 20 000 euros.
Les cogérants sont M. Kévin Logeais, demeurant La Gimonnière, 85150 La Chapelle Achard, et Mme Sandrine Chagneau, demeurant La Roussière, 85220 Commequiers.
L'Armurerie du Bocage propose un large choix d'arcs et d'arbalètes, incluant des arcs traditionnels, des arcs techniques, des arcs à poulies et des arbalètes. Elle offre également tous commerces de détail en lien avec l'armurerie et l'archerie, ainsi que toutes prestations de services annexes s'y rapportant.
L'Archerie du Bocage attache une attention particulière au conseil, tout en veillant à préserver les choix esthétiques, sportifs et techniques de ses clients. Forte d'une expérience de plus de quinze années dans l'archerie, elle répond aux demandes des archers passionnés et exigeants, et accompagne de nombreuses associations d'archerie sur tout le territoire.
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La livraison à domicile d'armes et de munitions est effectuée par l'Armurerie du Bocage. Les clients peuvent acheter les produits sur le site internet de l'armurerie et les colis sont envoyés par la poste.
Dès janvier 2024, il sera possible de se procurer des cartouches de fusil chez son buraliste. Dès 2024, on pourra venir acheter des munitions de chasse, catégories C et D chez les buralistes. Cette mesure surprend dans le milieu car cela existait déjà sur le territoire français.
L'autorisation de vente des munitions de chasse chez les marchands de journaux aurait pour vocation de pallier le manque d'armureries ou d'enseignes comme Decathlon.
Cependant, cette initiative suscite des interrogations et des inquiétudes chez certains professionnels du secteur. « Ce n’est pas une demande de la fédération. On est vraiment surpris de cette initiative. Dans notre département, on n’a pas besoin d’étoffer le réseau », déclare un professionnel.
Certains buralistes expriment également leur réticence : « Je ne suis pas pour. Comment on va stocker toutes ces munitions ? Il faudra investir dans des coffres blindés. On n’a pas tous les finances pour investir là-dedans. »
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D'autres craignent une surcharge de travail : « On aura encore plus de travail et on a déjà assez de choses à gérer. Chacun son métier, c’est la porte à vendre n’importe quoi. »
Des préoccupations concernant la sécurité sont également soulevées : « Il y a un côté dangereux dans la vente de cartouches. On est contrôlé tous les six mois par la gendarmerie. »
Certains acteurs du secteur estiment que cette mesure n'est pas nécessaire : « Les gens ont des voitures, si vraiment ils ont besoin de cartouche pour aller chasser, ils se déplaceront. »
Enfin, certains soulignent que les munitions vendues chez les buralistes sont souvent plus chères que chez l'armurier.
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