Arles, ville du sud de la France riche en histoire et en culture, abrite des arènes qui témoignent d'un passé où les gladiateurs s'affrontaient devant un public captivé. L'armurerie, liée à ces arènes, occupe une place importante dans ce récit.
Les gladiateurs, figures emblématiques de la Rome antique, étaient des combattants professionnels qui s'affrontaient dans les arènes pour divertir le public. Avant de pouvoir rejoindre les combats de l'arène et d'atteindre le rang de superstars de la Rome antique, les gladiateurs devaient suivre des entraînements professionnels. Chaque gladiateur avait sa propre spécialité de combat, connue sous le nom d’armatura : l’équivalent de la Rome antique d’un personnage public.
En fonction de leur spécialité, de leur niveau d’habileté et de leur expérience, ils étaient associés dans l’arène afin de faire correspondre leurs forces et leurs faiblesses, et garantir des combats passionnants.
Par exemple, un combattant agile, presque nu, connu sous le nom de rétiaire, armé uniquement d’un filet, d’un trident et d’un petit couteau, pouvait affronter un imposant guerrier mirmillon portant plus de 20 kilogrammes d’équipement de protection.
Le thrace avait un casque arborant un cimier et une épée incurvée en bronze, tandis que le secutor portait un casque avec seulement deux trous pour les yeux ainsi qu’un bouclier et une épée ressemblant à ceux qui étaient utilisés par les soldats légionnaires romains.
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Au-delà de ces favoris qui apparaissaient à chaque combat, les foules aimaient toujours les surprises. Les sources littéraires et les pierres tombales font référence à d’autres types de gladiateurs plus exotiques qui étaient déployés pour ajouter une touche d’excitation à la programmation habituelle.
Construit vers 240 de notre ère, le colisée de l'ancienne Thysdrus, situé dans l'actuelle ville d'El Jem, en Tunisie, pouvait accueillir 35 000 spectateurs. Au début de l’Empire romain, les gladiateurs étaient des esclaves, des criminels ou des prisonniers de guerre qui étaient enchaînés et amenés dans l’arène. Mais au 1er siècle de notre ère, le métier de gladiateur était devenu lucratif, et des sources littéraires suggèrent que pour certains, il s’agissait même d’un choix de carrière.
Selon la loi, les gladiateurs étaient considérés comme des biens et non comme des personnes.
L’archéologie expérimentale est à la mode, ce qui, comme la langue d’Ésope, est la meilleure et la pire des choses au monde. Le principal atout de l’archéologie expérimentale est qu’elle allie expériences scientifiques de reconstitution, qui permettent aux chercheurs de tester leurs hypothèses dans une démarche de science expérimentale, et spectacle grand public, qui offre à un très large cercle d’amateurs ou de profanes une image vivante de la réalité antique, marquée du sceau de l’authenticité par la présence d’auteurs reconnus comme des spécialistes.
Eric Teyssier, agrégé d’histoire et maître de conférences à l’université de Nîmes, et Brice Lopez, professeur d’arts martiaux et troisième dan en jiu-jitsu, ont uni leurs compétences dans une démarche originale qui a consisté à appliquer les principes de l’archéologie expérimentale à un domaine riche en interrogations scientifiques comme en clichés ressassés : celui de la gladiature dans le monde romain.
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De façon convaincante, grâce aux images (parfois trop nombreuses cependant) et à leurs légendes très détaillées, les auteurs mettent en relief, et c’est une nouveauté, le rôle fondamental et central du bouclier dans l’affrontement. Cette conclusion, solidement étayée dans une analyse qui souligne bien la différence entre gladiature et escrime, donne une nouvelle dimension au conflit traditionnel qui, dans l’Antiquité, opposait scutarii, partisans de gladiateurs au bouclier long et lourdement armés, et parmularii, amateurs des gladiateurs légers au bouclier court ou rond.
Pour combler ces lacunes, E. Teyssier et B. Lopez sont partis des sources iconographiques, archéologiques, épigraphiques et littéraires pour reconstituer les équipements des gladiateurs antiques, identifier les différents types de combattants, et organiser une troupe de gladiateurs, dont la fonction est à la fois de construire et de tester des hypothèses sur les pratiques techniques et d’offrir des spectacles éducatifs autant que distrayants, dans lesquels sont détaillées et expliquées les diverses formes d’assauts, de défenses et d’affrontements.
De ce point de vue, le livre apporte un éclairage nouveau et assure un certain nombre d’acquis. Il est très largement illustré (deux cents figures) de photographies en couleur d’objets, d’inscriptions ou de représentations antiques, mais aussi et surtout de gladiateurs modernes dans les différentes postures et gestes de leur art.
Les armureries en France ont une longue histoire qui remonte à plusieurs siècles. Les armuriers étaient initialement des artisans spécialisés dans la fabrication d’armures pour les chevaliers et les soldats. Aujourd’hui, il existe environ 15 000 armureries en France.
Elles se trouvent dans toutes les régions du pays et peuvent être grandes ou petites, indépendantes ou liées à des chaînes nationales. Si vous cherchez à trouver un bon armurier, il est important de bien faire vos recherches. Vous pouvez demander des recommandations à des amis ou à des membres de votre famille qui utilisent des armes à feu à Marseille, ou consulter des forums en ligne dédiés à ce sujet.
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Si vous ne trouvez pas d’armureries à Marseille où si elle ne répond pas à votre besoin, n’hésitez pas à nous contacter.
Arles, située dans le sud de la France, est une ville chargée d'histoire et de culture, avec une population d'environ 51 000 habitants. Cette ville est également un lieu de prédilection pour les festivaliers, avec le festival de théâtre antique et les Rencontres de la photographie.
Cependant, elle est également attractive sur le plan commercial, et ce n'est pas un hasard si de nombreux acquéreurs cherchent à y ouvrir ou reprendre un commerce. Si vous êtes acquéreur intéressé par l'activité d'achat-vente d'armurerie, Arles peut être une excellente option.
En outre, la présence de nombreux visiteurs et touristes tout au long de l'année peut offrir une clientèle régulière et fidèle. Il est donc recommandé de se renseigner auprès des autorités compétentes avant de se lancer dans une telle entreprise.
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