Le tir subaquatique est une discipline à part entière des sports subaquatiques. En Moselle, le tir sur cible se développe, et beaucoup sont à la recherche du dépassement de soi que procure l'apnée et la précision du tir avec une arbalète. Vous êtes licenciés FFESSM ?
Le tir subaquatique est apparu en France il y a près de 20 ans. A l'époque, les tirs étaient effectués verticalement à partir de la surface vers le fond, à des profondeurs de 10 à 15 mètres. Ce sont les chasseurs sous-marins qui ont développé cette discipline qui leur servait d'entraînement d'hiver. A l’époque, les tirs étaient effectués en mer, à des profondeurs de 10 à 15 mètres. Ce sont les chasseurs sous-marins qui, en piscine, ont développé cette discipline qui leur servait d’entraînement d’hiver.
Cette pratique apparaît en 1935. Elle est vue comme une activité d'entraînement hivernal à la chasse sous-marine. Depuis 1963, le Club subaquatique de Caen rassemble et forme des passionnés d'activités subaquatiques (plongée, nage avec palmes, apnée, pêche sous-marine, biologie, tir sur cible etc.).
Pour pratiquer le tir à l'arbalète sur cible subaquatique, l'équipement suivant est requis :
Les modèles du commerce conviennent à cette discipline. L’important est que le tir ne dépasse jamais 5,5 mètres. L'arbalète peut être équipée d'accessoires personnels tels que viseur, stabilisateur... Et puis, bien sûr, le principal : … une piscine ! Pas de contrainte particulière pour ses dimensions : une longueur de 15 mètres convient à cette d’activité.
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Le tir sur cible se divise aujourd’hui en trois épreuves individuelles et une épreuve en équipe. Le tir sur cible subaquatique est composé de trois épreuves individuelles, et une par équipe :
Une épreuve de précision : le tireur doit effectuer, en apnée, une série de dix tirs sur une cible immergée. Les tireurs effectuent en apnée, une série de 10 tirs, sur un plastron immergé. Ils disposent d’un temps réglementaire de 10 minutes, suffisant à la récupération en surface et au réarmement de l’arbalète entre chaque tir. Ils disposent d’un temps réglementaire de 10 minutes : il est suffisant à la récupération en surface et au réarmement de l'arbalète après chaque tir. Ils doivent respecter une distance de 4 mètres entre la pointe de la flèche et le plastron de la cible. Ils doivent respecter une distance de 3 mètres entre la pointe de la flèche et le plastron de la cible. Le résultat est calculé en additionnant les points de chaque impact et en soustrayant le nombre des pénalités.
Une épreuve de biathlon : l'association d'un parcours chronométré, en apnée, et de tir sur cible. Les tireurs réalisent 3 parcours sous-marins ponctués chacun d’un tir sur la cible. Les tireurs réalisent 3 parcours sous-marins ponctués chacun d'un tir sur la cible. Une ligne de départ est située à 15 mètres de la cible. Au signal, les tireurs s’immergent, se déplacent en apnée jusqu’à la gueuse. Après immobilisation, ils visent et effectuent leur tir. Ils récupèrent alors leur flèche dans la cible et reviennent, toujours en apnée, vers la zone de préparation pour se ventiler, réarmer et repartir le plus vite possible réaliser les deux derniers parcours. L’épreuve est chronométrée sans interruption. Le résultat est donné en fonction du temps et de la qualité des tirs.
Cette épreuve nécessite une bonne condition physique, un entraînement régulier en apnée pour pouvoir effectuer les 3 parcours sous-marin en restant suffisamment concentré pour chaque tir.
Une épreuve de super-biathlon : l'association d'un parcours chronométré, en apnée, et d'un contrat cible. Le parcours du super biathlon s’apparente sur la forme à celui du biathlon. Cependant, la distance est ramenée à 10 mètres, mais les participants doivent enchaîner 5 aller-retour. Cependant, la distance est ramenée à 10 mètres et les participants doivent enchaîner 5 allers-retours. 3 conditions sont nécessaires pour valider une manche (contrat-cible): Effectuer 5 parcours Exécuter 5 tirs Réaliser 3 impacts sur 5 dans la zone des 475points Un bonus de 3 secondes est attribué par mouche (475 pts) supplémentaire. Le classement des tireurs s’effectuent après plusieurs manches éliminatoires où la vitesse devient un élément déterminant. En effet, c’est le chronomètre qui départage les candidats ayant honoré leur contrat-cible. Le classement des tireurs s’effectue après plusieurs manches éliminatoires où la vitesse devient un élément déterminant.
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Par équipe de 4, le relais subaquatique consiste à réaliser 8 tirs sur un plastron de précision, situé à 15 mètres du départ. Le relais subaquatique consiste à réaliser par équipe de 4 , 8 tirs sur un plastron de précision, situé à 15 mètres du départ. Chaque tireur s’attribue une des 4 cibles latérales du plastron (la cible centrale étant occultée), sur laquelle il doit réaliser 2 impacts. Après chaque parcours, il passe le relais à un de ses coéquipiers. Si à l’issue du 8ème passage, le contrat cible n’est pas rempli, l’équipe se relaie jusqu'à validation de celui-ci. Si à l’issue du 8 éme passage, le contrat cible n ‘est pas rempli, l’équipe se relaie jusqu’à validation de celui-ci. Epreuve de vitesse, le chronomètre s’arrête lorsque les 8 tirs sont validés. Epreuve de vitesse, le chronomètre s’arrête lorsque les 8 tirs sont validés.
Le combiné est le classement des compétiteurs sur les deux premières épreuves Précision et biathlon.
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