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Pas certain d’intéresser grand-monde avec cet article, j’aime bien, malgré tout, mettre les choses à leur place et les événements à la bonne date. Il y a quelques jours avant de me lancer dans l’écriture d’un article sur mon blog, j’ai essayé de me souvenir de détails précis parmi les centaines de souvenirs qui polluent ma mémoire, ce que je déteste. Je voulais absolument savoir à quelle date j’avais cessé de faire des bulles sur les stands de ball-trap.

En effet, pour moi, ma dernière licence datait de 2005 à la FFBT, ce que devait gentiment me confirmer Monique Gay en retrouvant mon nom sur la liste des licenciés d’alors au BTC Saint-Pierre-du-Palais, club dont je fis découvrir l’existence en France mais aussi à l’étranger, peu de tireurs du club ayant, avant moi, bourlingué autant que moi. Une discussion avec ma frangine Hélène me remit les idées en place, lorsque je lui assurai ne pas avoir pris de licence depuis 2005, soient 15 ans. Elle me laissa parler un moment, comme si elle n’osait pas aborder des sujets qui fâchent, avant de lancer : » T’es mignon, mon p’tit frère, mais t’as oublié les années de galère que tu as vécues avant cette date inscrite en toi.

Tu as perdu ta Chantal, (décédée en 1996 à l’âge de 45 ans …), tu as été contraint de mettre ton entreprise en règlement judiciaire, tu fus licencié de l’entreprise Ets Ferchaud & Fils créée en 1955 par notre père (Note JF: c’est vrai que j’aie dû prendre les rênes au décès de mon père Maurice en 1983 (il avait 58 ans, il n’a donc jamais eu mon âge actuel, 68 ans, ça fait bizarre). Après avoir été viré comme un malpropre (Note JF: par un c….. Merde, alors, comment ai-je pu chasser ces années noires de ma mémoire ? Mais elle a raison ma frangine, ce sont presque 25 années qui sont passées, c’est dingue. Petit à petit, la mémoire m’est revenue mais j’ai quand-même dû creuser bien au fond.

Contacté par téléphone, le sympathique interlocuteur de la FFT a bien voulu consulter ses archives, et ses premières réponses m’ont un peu donné la migraine. J’ai bien été licencié à la FFT du 16 mai 2001 au 31 août 2008, date à laquelle j’ai disparu des radars. Il ne trouva aucun signe de mon existence de tireur avant cette date, alors que je lui affirmai être monté plusieurs fois sur le podium au Skeet Olympique aux championnats de France en deuxième série à Chatelaillon (mon second club de cœur), à Villeneuve-sur-Lot en double-trap, et pris le bronze en 1992 à la Fosse Olympique à Poussan en première série (terminant 11e au scratch). « Les clubs concernés n’ont pas dû nous transmettre les résultats », m’annonçait-il. QUOI ? Mais c’est pas possible, je rêve, me suis-je dit.

Le 15 mars 1967, l’Union des Sociétés de Tir fusionne avec la Fédération Française de Tir aux Armes de Chasse pour devenir la Fédération Française de Tir (FFTir). Juridiquement, la fédération est une association régie par la Loi de juillet 1901 qui regroupe l’ensemble des clubs de tir en France. Chômeur, après avoir dirigé une entreprise de presque 100 personnes, et ayant malgré tout largement cotisé et payé mes impôts pour le bonheur de la collectivité pendant les 25 années, je me suis dit que je pouvais bien, après tout, après avoir été pressé comme un citron et épongé comme une serpillière afin de me prendre tout ce que je possédais, et même ce que je n’avais pas, essayer de m’en sortir.

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« Votre problème », m’avait affirmé l’administrateur judiciaire chargé de la liquidation, (une des personnes qui se gavent grâce à la faillite des entreprises…), « c’est que vous n’avez jamais eu de problème grave dans votre entreprise qui a toujours bien marché, jamais fait la moindre dette, toujours payé ses charges et son personnel même avant le dernier jour du mois (…), vous n’avez jamais eu de véritable crise à gérer. Vous ne retrouverez jamais de boulot, car en réalité, vous ne savez rien faire, vous auriez mieux fait de devenir le meilleur fabricant de boudin de votre entreprise de charcuterie ».

Il est certain que ces mois ont constitué pour moi une période de formation accélérée durant laquelle j’ai eu le « privilège » de croiser de véritables bancs de requins, de faux-culs, de voyous souvent plus ou moins proches qui m’ont bien sucé le sang et celui de mes filles. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ! Chômeur donc, contrairement à presque la totalité du personnel de Jacquel (contraction de Jacques et Hélène), heureusement pour eux, je me rapproché, bien obligé de Pôle Emploi afin d’essayer de trouver une formation quelconque qui pourrait me permettre de faire les courses au quotidien.

Heureusement, mon oncle Robert associé à mon pater avant de prendre sa retraite en 1984 (certainement un peu tôt pour moi…) ne me laissa pas dans une merde noire, m’aidant autant qu’il le put avec son épouse Lulu, ma marraine (qui tint son rôle à la perfection, et m’évitant de crever la dalle, de finir sous le pont de Saint-Denis, et sauvant mon seul bien, ma maison (située à 20 mètres de « mon ancienne usine de 2000 m2 sur deux niveaux).

Devenir arbitre et retrouver sa passion

Dans un premier temps, vers 2000, 2001, je me dis que connaissant un peu le ball-trap, je pouvais essayer de devenir arbitre, et comme j’adorais la rigueur des disciplines olympiques, la FO et surtout le Skeet grâce à mon second père Guy Szewc, l’âme du club de Chatelaillon, père et éleveur de champions, je me tournai vers la FFT. Il sut m’apporter ce que mon père ne pouvait plus faire, nous passâmes de longs moments en tête à tête, devant un plateau de fruits de mer, avant d’aller casser des pulls et des marks sur ce stand qui accueillit de merveilleuses compétitions et de formidables histoires d’amitié d’hommes et de femmes.

Je retrouve ainsi le fil de mon histoire avec le tir et je comprends enfin pourquoi j’ai pris une licence à la FFT, au club de Pons, de 2001 à 2008, pour arbitrer, n’ayant pas les moyens de reprendre le tir. J’ai pris beaucoup de plaisir à faire partie du corps arbitral de la FFT lors de grandes compétitions comme les France de SO et de FO à Chatel, Poussan, et ailleurs. Au bout de quelques années, le doigt sur la couture du pantalon, les breafings, la discipline quasi-militaire malgré les 45° à l’ombre m’ont un peu déçu; en outre le fait qu’il soit impossible « d’oser prétendre » arbitrer à l’étranger malgré un assez bonne connaissance en Anglais, en Espagnol eu un peu moindre en Allemand m’ont fait comprendre que le copinage et les « voyages réservés à l’élite » (…) constituaient une des quatre mamelles du corps arbitral décisionnaire de la FFT.

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Il était facile d’arguer de mon manque d’expérience pour me laisser à la maison. C’est sans doute pour ça que je me suis mis, à presque 30 ans, au ball-trap : partir de rien, même pas chasseur, travailler, ne compter que sur moi, mais petit à petit, obtenir le résultat immédiat de mes actions, de mes décisions, de mes investissements personnels, bref, tout ce qu’il est impossible d’obtenir quand on « doit diriger » une entreprise, qu’on l’ait choisie, ou pas !

Les souvenirs d'un père et une passion

Voir arriver mes parents sur le stand de Villeneuve-sur-Lot lors de ma première participation à un championnat du Monde de PC en 1982 fut à coup sûr le premier signe d’intérêt qu’osait enfin témoigner mon père à l’égard de ma nouvelle passion . Je racontai à Philippe Dupin, celui dont je vais vous parler, qu’on oublie jamais quelques phrases prononcées par un père, qu’elles peuvent marquer une vie. Maurice, mon pater, me répétait ; « Toi, mon fils, au moins, tu as toujours parfaitement su organiser tes loisirs ! » Je ne sais toujours pas ce qu’il voulait dire, que je ne faisais rien de bien, que je n’arriverais jamais à rien ? Il a emporté ses secrets dans sa tombe avant que nous puissions en reparler.

Cependant, quelques mois après sa seule visite à son fils tireur, alors que je venais de faire mon entrée au Club France composé des 12 meilleurs de l’année (oui, il me semble qu’à cette époque, nous n’étions que 12 avant que la FFT (l’ancienne) ouvre les vannes pour motiver les tireurs, je surpris une conversation durant laquelle mon père annonçait mon classement français à un de nos principaux fournisseurs de viande de porc. A ce moment de l’écriture de mon article-déclaration, je m’aperçois que je suis en train de faire ma propre « analyse » , et que vous avez dû, depuis longtemps, en lâcher la lecture.

Ainsi que je l’ai expliqué un peu plus haut, l’agence Pôle Emploi de Libourne m’a dirigé vers le Département, me permettant de demander une bourse et une formation au CREPS de Talence dans le but de tenter d’obtenir un BEES, Brevet d’Etat d’Educateur Sportif option tir. J’avais échoué deux fois au bac au bahut Max Linder de Libourne, ce qui fut une aubaine pour moi, m’obligeant à me mettre au boulot dans l’entreprise familiale,(au lieu d’aller glander sur les bancs d’une fac quelconque) où pendant les 10 années de 1973 à 1983 (date de sa mort) mon pater-patron ne me fit pas vraiment de cadeau et encore moins preuve de favoritisme.

Je me rappelle qu’un jour, il m’avait fait déplacer, seul, quelques dizaines de jambons de 10 kgs du tunnel de surgélation à -50° vers l’immense salle de congélation, à -18 ° (ma moustache s’était cassée) , harnaché comme un esquimau pendant plusieurs heures, et qu’il m’a fait tout recommencer, m’étant soit-disant, « trompé de case »… On m’a souvent traité et jalousé comme un « fils à papa », t’as gagné ! Au fond de moi je savais bien que ce n’était pas le cas, mais je n’ai jamais joué les pleureuses, laissant libre cours aux réflexions à la con de la famille ou des « amis ».

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J’avais obtenu ma « bourse d’étude », c’est à dire que le département m’offrait l’inscription au CREPS de Talence, où j’ai eu le plaisir de croiser des stars du Tir à la cible, des jeunes cyclistes et sportifs en devenir, les filles de l’EDF de hand-ball d’Agostini (je les adorais sans oser leur parler, j’étais le plus vieil « élève », plus vieux que le doyen de la fac). Mais il y avait un réel obstacle pour que je puisse débuter la formation et espérer réussir, c’était l’entraînement au tir, obligatoire pour la délivrance du diplôme, une performance de choix lors de l’épreuve d’examen final étant obligatoire.

Mon ami Philippe, oui, ce fut à ce moment là qu’il devint « un véritable ami » décida de m’aider, et je crois bien, si ma mémoire ne me trahit pas, ne rien lui avoir demandé… Ce fut un des rares moments (le seul ?) où j’ai reçu une aide inespérée et désintéressée d’un « étranger ». Il me semble qu’il s’est exprimé ainsi: « Jacques, je vais t’aider, t’es dans la merde et depuis le temps que tu offres à bouffer tes excellents produits de charcuterie à toute une bande de charognards qui viennent jouer les pique-assiettes parmi nous tes copains, au cul de ta bagnole, tu mérites bien ça. Et surtout nous les Dupin, on vous apprécie et on vous aime, les Ferchaud, toi, Chantal, Anna et Sara. Alors me fais pas chier, je vais te payer les cartouches pour ton année.

C’est ainsi que j’aie pu charger dans mon coffre 4000 cartouches en 24 g, du 8 et du 7 et 1/2, en carton (j’adore l’odeur et la douceur) chez l’ami hélas décédé Pierre Mary, qui m’ont permis de suivre les entraînements concoctés par Jean-Paul Gros et Marc Menessier, nos instructeurs à la FO, à Pons et Chatelaillon . J’ai pu renvoyer l’ascenseur en prenant la 3e place du concours décisif FO à Poussan , il fallait terminer dans les 10 premiers et plus on approchait du meilleur score, meilleure était la note.

Mon papa avait raison, c’est dans le choix de mes loisirs que je suis le meilleur, je continue avec les voyages, et après 12 années de correspondant local du quotidien Sud-Ouest (le deuxième de France) je nourris mon blog ! Ouf, c’est tout pour un lundi. Le compteur annonce 2415 mots, oh p….. Ma maman, notre deudeuche, ma Chantal à Megève, mon papa, mon tonton Robert le chasseur-éleveur-juge et président du club du Braque-Allemand, ils sont tous partis, ils nous attendent…..

Les armureries en France : un aperçu

Les armureries en France ont une longue histoire qui remonte à plusieurs siècles. Initialement, les armuriers étaient des artisans spécialisés dans la fabrication d’armures pour les chevaliers et les soldats. Aujourd’hui, il existe environ 15 000 armureries en France. Elles se trouvent dans toutes les régions du pays et peuvent être grandes ou petites, indépendantes ou liées à des chaînes nationales.

Comment choisir une armurerie de confiance

Si vous cherchez à trouver un bon armurier, il est important de bien faire vos recherches. Vous pouvez demander des recommandations à des amis ou à des membres de votre famille qui utilisent des armes à feu, ou consulter des forums en ligne dédiés à ce sujet. Il est également possible de rechercher des avis en ligne sur les armureries.

Pourquoi aller chez un armurier ?

Il existe plusieurs raisons pour lesquelles il peut être avantageux d’aller chez un armurier. Tout d’abord, les armuriers sont des experts en matière d’armes à feu et peuvent vous aider à choisir le bon équipement pour vos besoins. Enfin, les armuriers peuvent également offrir des services tels que des réparations et des personnalisations, ce qui peut être très utile pour les propriétaires d’armes de chasse.

Armurerie Guns&Co: Une option à considérer

Armurerie Guns&Co, située à Chevanceaux, est une destination incontournable pour les passionnés d'armes et de tir. La boutique se distingue par son entrée accessible en fauteuil roulant, permettant à tous d'accéder facilement aux produits. L’armurerie offre également un service de livraison efficace, garantissant que vos produits arrivent rapidement et en bon état. Les prix sont tout à fait corrects, l'expédition est rapide et soignée, les produits sont conformes à la commande. J'ai eu un problème avec un produit mais le service après-vente l'a rapidement et efficacement résolu.

Avis clients sur Guns&Co

Les retours d'expérience des clients sont variés. Certains saluent la qualité des réparations effectuées, comme Romain qui a su redonner vie à une carabine FX Airguns Maverick sniper. D'une manière générale, nombreux sont les clients qui apprécient le large choix de produits, la sympathie et le professionnalisme de l'équipe.

Armurerie Guns&Co à Chevanceaux se positionne comme un acteur sérieux sur le marché des armes, avec un certain nombre de services adaptés aux besoins des clients, notamment grâce à son accessibilité. Bien que certaines expériences négatives aient été rapportées, la majorité des avis souligne un engagement fort envers la satisfaction clientèle et la qualité des produits proposés.

Livraison du matériel (selon le type de matériel demandé et la législation) jusqu'en Guyane, facturation hors taxe et frais de livraison très raisonnables ! Je recommande fortement ! J'ai passé plusieurs commandes sur ce site, la dernière étant pour un Pietta 1851 EASTWOOD. J'ai demandé des informations sur la qualité de la crosse en noyer et des photos supplémentaires, et cela a été fait. J'ai personnellement passé ma commande et je suis très satisfait de ce site.

Après avoir passé ma commande, j'ai reçu un courriel me donnant des conseils sur les accessoires que j'avais choisis. Avant l'expédition, ils ont pu ajuster ma commande. Je reviendrai avec plaisir chez eux pour mes prochains achats, même si cette armurerie n'est pas la plus proche de chez moi. Après avoir fait un achat sur le site, malgré un souci informatique avec ma commande, l'équipe de gunsandco a été ultra réactive, facile à contacter et vraiment sympa 👍.

Expériences négatives et points d'attention

Mauvaise expérience, je dois dire. J'ai reçu une arme neuve avec prétendument un contrôle technique (à quoi cela sert-il !), mais elle était inutilisable car le montage était mal fait, la détente bloquée. J'ai dû attendre des semaines avant de recevoir enfin le produit en bon état. De plus, malgré ma grosse commande et leur erreur, ils n'ont fait aucun geste commercial. Tout comme le commentaire précédent, j'ai reçu mon arme endommagée, le canon semblait avoir été serré dans un étau sans protection. J'ai attendu 3 semaines pour recevoir le colis, qui était soi-disant perdu !!!

Mais le comble de tout cela, c'est que j'ai reçu de la poudre agglomérée périmée, la date de péremption n'était pas la même sur les tubes et sur l'emballage, l'une datant de 2016 et l'autre de 2017. J'ai contacté le service client : leur réponse a été : "Vous avez acheté ce produit dans un pack prêt à tirer. Nous vendons ce produit aux débutants. Ces charges propulsives sont destinées à une utilisation sécurisée pour vous et votre entourage. Les étiquettes avec la date sur le rouleau de stockage sont les dates de production des lots et non les dates de péremption. Nous avons contacté VECTAN pour connaître la raison du réétiquetage. La raison est qu'un mauvais numéro a été attribué à ce lot.

Vendre de la poudre de mauvaise qualité et risquer des incidents de tir avec une arme à feu est-il sécurisant ? Vous l'aurez compris, ne vous laissez pas piéger : Ne jamais acheter cette poudre si vous ne voulez pas mettre votre vie en danger !

Services et produits proposés par les armureries

  • Un atelier de réparation est à votre disposition pour l’entretien et la réparation de vos armes de tir, de chasse et de loisir.
  • Il met à votre disposition une sélection d’armes, munitions, accessoires pour la chasse, le tir sportif et le tir de loisir.
  • Vente d’armes à feu de poing et d’armes à feu d’épaule pour la pratique du tir sportif.
  • L’acquisition de munitions pour les armes de catégorie B est possible sur présentation de l’autorisation de l’arme détenue au moment de l’achat.
  • Fusil de fosse, fusil de parcours de chasse ou fusil de skeet, un grand choix de fusils de Ball-Trap est disponible à l’armurerie.
  • Homme ou femme, un vêtement de chasse adapté est un élément majeur dans l’équipement du chasseur.

Autres services

  • Pour vos séminaires d'entreprise, nous mettons à disposition deux salles de réception pouvant accueillir jusqu’à 140 personnes.
  • Nous pouvons organiser des sessions de Ball-Trap temporaire à l’extérieur encadré par un moniteur diplômé d’état.
  • La prestation comprend l’installation de machines et l’encadrement de vos convives par un professionnel.
  • Vente d'armes de catégorie B, fusils de chasse et cartouches en magasin de chasse à Châtelaillon-Plage en Charente-Maritime (17) - donnez votre avis !
  • Bénéficiez des conseils d’un armurier professionnel en Charente-Maritime (17) !
  • Votre magasin de chasse dispose d’une grande collection d’armes neuves et d’armes d’occasion, notamment des armes et des munitions de catégorie B.
  • Un tarif spécial est appliqué pour équiper les forces de l’ordre.
  • Pour vos animaux (chiens, canards…) une gamme de produits adapté est à votre disposition.
  • Tir de battue et d’approche, moyen et gros gibier… nous disposons de nombreuses optiques, points rouges et lunettes de tir afin d’optimiser votre activité de plein air.
  • Lors de l’achat d’une carabine ou d’optiques, vous pouvez vous exercer à tirer avec votre nouvelle arme.
  • Vêtements de chasse, vêtements de tir (Ball-Trap) et vêtements de ville de type sportswear, l’armurerie à Châtelaillon-plage (17) vous propose des gammes de vêtements de marques pour un confort optimal.
  • Créé en 1959, le club de Ball-Trap près de la Rochelle (17) vous donne le loisir de pratiquer la discipline de votre choix : Tir et Ball-Trap.
  • Participer aux concours et aux championnats de Ball-Trap vous offre l’opportunité de passer de bons moments entre amis.
  • Profitez de l’offre découverte incluant le tir de 25 plateaux (cibles) avec les munitions adéquates, le prêt du fusil et l’équipement.
  • Il est obligatoire d’effectuer le tir au ball-trap à la bille d’acier (non polluante).

Vous souhaitez des conseils sur une arme ou des accessoires de tirs ?

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