Le fusil de chasse jouet, souvent fabriqué en métal et en bois, suscite l'intérêt tant pour son aspect ludique que pour sa valeur potentielle en tant qu'objet de collection. Ces jouets, répliques miniatures d'armes réelles, peuvent évoquer des souvenirs d'enfance ou susciter la curiosité quant à leur origine et leur histoire.
Un exemple de fusil de chasse jouet est un modèle à amorces pour enfant, avec un canon et un corps en plastique. Ce jouet offre une expérience ludique tout en imitant les gestes des adultes. Il s'agit d'une belle réplique d’un fusil de chasse juxtaposé, conçu pour permettre aux enfants de s'initier aux traditions de chasse de manière ludique et sécurisée. Le fusil de chasse enfant Monte Carlo est une réplique d’un fusil de chasse juxtaposé.
Ce type de fusil fonctionne avec deux cartouches (fournies) dans lesquelles viennent se loger des amorces. Ce fusil de chasse enfant fonctionne avec deux cartouches (fournies) dans lesquelles viennent se loger des amorces.
Saisissant de réalisme, ce fusil de chasse juxtaposé réplique du Beretta est idéal pour tous les futurs chasseurs qui accompagnent leurs parents à la chasse ! Sans aucun risque, cette réplique est simplement géniale pour de longues heures de jeu ! Très résistant ce fusil pour enfant fonctionne avec deux cartouches dans lesquelles viennent se fixer des amorces (pétards vendus séparément). Trois cartouches sont fournis avec ce fusil pour enfant ainsi que la bretelle. Ce jeu de plein air est idéal pour compléter l'équipement du chasseur en herbe en s'entrainant au tir. Une bonne idée cadeau pour les enfants, qui fera plaisir à coup sûr !
Il est essentiel de s'assurer que ces jouets ne comportent aucun danger pour les enfants. Rassurez-vous, cette arme ne comporte aucun danger pour les enfants. Cependant, certains modèles anciens peuvent présenter des risques en raison de leur conception ou de l'utilisation de matériaux potentiellement dangereux. Il est conçu pour être une réplique fidèle sans comporter de danger pour les enfants.
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Un fusil jouet particulier, mesurant 70 cm de long, est fabriqué en bois et en métal rouillé, avec une culasse à verrou mobile. En armant le verrou, un ressort est comprimé dans la culasse, et en appuyant sur la détente, le ressort se détend et peut permettre de propulser un objet introduit dans le canon (bille ?, flêche ?). L'identification précise de l'âge et de l'origine de ce type de jouet peut s'avérer complexe en l'absence de marquages.
Une hypothèse suggère qu'il pourrait s'agir d'un fusil d'entraînement pour enfant datant de la période 1914-1918, ou d'un modèle Lebel destiné aux bataillons scolaires. D'autres estiment qu'il pourrait s'agir d'une fabrication amateur, réalisée par un artisan ayant de bonnes compétences en métallerie.
Il a été noté que, qu'il s'agisse d'un jouet ou d'un outil pédagogique, il n'est pas vraiment sécurisé : le boîtier de culasse est en tôle assez fine (donc coupante) et le ressort de culasse est relativement dur : un gamin aurait vite fait de s'ouvrir la paume de la main en cas d'erreur de manipulation.
L'inspiration pour ce type de jouet pourrait être un fusil Gras de chasse, en raison de la similitude dans le design général. Dans le catalogue Manufrance de 1910, le prix d'un fusil Gras en calibre 16 était de 22 francs, tandis qu'un fusil jouet à flèche coûtait 18 francs, indiquant que les jouets étaient un luxe à cette époque.
Le boîtier de culasse est constitué d'une tôle mise en forme, simplement clouée sur la crosse. Le canon est un tube en métal tenu en place par des brides également clouées.
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Dès les premiers jours du conflit, l’imagination des plus jeunes est stimulée par tout un ensemble de jouets et de récits belliqueux que fabricants comme éditeurs de livres et de journaux pour enfants proposent à la vente. Dès avant l’éclatement du conflit, les fabricants de jouets incitaient déjà les plus jeunes à jouer à la guerre. La mobilisation, les premières évacuations, le rationnement (notamment en matières premières), les premiers bombardements ne freinent pas ce mouvement, bien au contraire.
Les pages des catalogues de jouets des années 1930 et 1940 sont remplies de jouets belliqueux. Dès l’automne 1939, il est possible de jouer avec des avions dont on choisit au préalable la cocarde, parmi celles des différents belligérants : française, anglaise, fasciste ou nazie. Grâce aux panoplies que l’on se procure dans les grands magasins, les garçons peuvent jouer « à la guerre » en s’improvisant soldat, officier, quand les petites filles peuvent jouer à être infirmière de guerre.
À mesure que le conflit progresse, de nouveaux jouets apparaissent dans les différents pays d’Europe de l’Ouest, faisant directement référence aux nouvelles armes utilisées ou aux batailles qui se sont déroulées. La plupart renvoie aux différentes formes de la guerre : on joue à se battre dans les airs, sur terre et sur mer. Dans « Mit “Prien” gegen England » [Avec Prien contre l’Angleterre], vendu en Allemagne nazie au début de l’année 1940 par la firme Franz Schmidt Nürnberg, les jeunes joueurs sont par exemple invités à reproduire les « exploits » du sous-marinier Gunther Prien, connu pour avoir fait couler en octobre 1939 le HMS Royal Oak, cuirassé de la Royal Navy dans la rade écossaise de Scapa Flow, provoquant la mort de plus de 700 personnes.
On notera les cas spécifiques de l’Allemagne nazie et de l’Italie fasciste : le caractère totalitaire de ces régimes favorise en effet bien plus qu’ailleurs la pénétration de la guerre dans l’espace intime (le foyer en particulier) et le quotidien des enfants. Les mouvements de jeunesse, qu’il s’agisse des Hitlerjugend ou de son pendant italien les Balilla, auxquels les jeunes Italiens et Allemands doivent adhérer, proposent des activités ludiques au caractère martial. Les adolescents y reçoivent une formation qui s’apparente presque à un service militaire. En outre, l’essor de jeux calquant l’actualité guerrière ne s’essouffle pas et ce, en dépit d’un accroissement des pénuries de matières premières ou des difficultés de production, de circulation et de diffusion, en conséquence des destructions issues des bombardements. La Libération constitue d’ailleurs une période particulièrement intense pour les fabricants et éditeurs, qui proposent presque instantanément des jeux et jouets évoquant l’avancée des troupes alliées.
L’analyse des journaux intimes, de travaux scolaires, de dessins, mais aussi des mémoires écrits a posteriori et des témoignages oraux a montré que dès les premiers jours, la guerre intrigue et attire les enfants d’Europe occidentale. Ils sont nombreux à suivre, dès le mois de septembre 1939, l’évolution des différentes troupes alliées en plantant des petits drapeaux sur des cartes.
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Stimulés par le caractère inédit, extraordinaire de l’événement et par sa présence dans les journaux et à la radio, ils reproduisent les chars, les tanks des différentes armées. Au fur et à mesure que le conflit se prolonge, il se fait de plus en plus présent dans les jeux des enfants. Les combats et les formes de violence qui caractérisent le conflit sont ainsi reproduits ; les jeux s’actualisent progressivement. En 1943, alors que les bombardements commencent à s’intensifier sur le territoire français, « Qui veut jouer à papa-maman, man, man, man ? » devient « Qui veut jouer au bombardement, ment, ment, ment ? ».
Les fusils de chasse jouets modernes peuvent être disponibles à partir d'un certain prix (par exemple, 49,99 € pour un modèle spécifique).
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