Le pistolet à impulsion électrique ou Taser est une arme de 4e catégorie, dite non létale. En France, seuls des policiers ayant été formés peuvent le manipuler dans un cadre très strict. Cette arme neutralisante s’est répandue partout dans le monde depuis 2004. Elle a obtenu un agrément officiel pour équiper police et gendarmerie en France depuis 2006, puis a été autorisée pour la police municipale en 2008.
Le Taser est un pistolet à impulsion électrique, qui permet de neutraliser des individus, logiquement sans risque. Souvent réduit à un pistolet électrique, le Taser est en fait une arme dotée de plusieurs fonctions, toutes aussi redoutables les unes que les autres. Cette arme, au final assez méconnue, possède trois modes de fonctionnement :
Laurent Nuñez, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, en parle comme d’une arme « intermédiaire très utile afin de procéder à des interpellations sans contact, et qui protège les policiers ». Cette arme peut constituer une « réponse graduée et proportionnée à une situation de danger lorsque l’emploi légitime de la force s’avère nécessaire pour dissuader ou neutraliser une personne menaçante et/ou dangereuse », précisait déjà en 2013, un rapport du Défenseur des droits.
Selon le dernier rapport de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), publié en début de semaine, l’utilisation du Taser serait déjà en augmentation de 30 % en 2019 avec 2 350 utilisations, soit six tirs par jour. L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a rendu son rapport annuel sur les moyens employés par les forces de l’ordre. En 2021, les policiers ont fait usage du pistolet électrique à près de 2.699 reprises, deux fois plus qu’en 2017 et cinq fois plus qu’en 2014.
Dans le détail, le pistolet à impulsion électrique est utilisé, dans plus de la moitié des cas en corps à corps, 25% du temps à distance et 23% du temps pour dissuader. Pour rappel, cette arme dite «incapacitante» est utilisée par la police depuis 2007. Selon le rapport de l’IGPN, le pistolet à impulsion électrique a été sorti, seulement à deux reprises, dans une situation où la personne visée a été gravement blessée.
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Une augmentation à mettre en corrélation avec le nombre croissants de ces armes fournies aux forces de l’ordre. En 2014, la police nationale ne disposait que de 500 pistolets à impulsions électriques, elle en possède désormais 3.700.
Mais son utilisation fait également polémique. Car si le Taser est censé éviter l’usage d’une arme à feu, il reste néanmoins à l’origine de bavures qui ont entraîné des décès au cours d’arrestations. Pointé en direction de la poitrine, il a été avéré qu’il pouvait provoquer des infarctus.
À l’étranger et notamment aux États-Unis, un des tout premiers pays à l’avoir utilisé, le Taser est sous le feu de nombreuses critiques. Des organisations non-gouvernementales en dénoncent un usage souvent abusif, menant, dans les cas extrêmes, à la mort. L’organisation Réseau d’alerte et d’intervention pour les droits de l’homme (Raidh) réclame depuis plusieurs années déjà un « moratoire immédiat de cette arme de torture susceptible de donner la mort ».
Amnesty International assure que cette arme met en danger de mort des personnes vulnérables comme les cardiaques, les drogués ou les femmes enceintes. Selon un rapport de l’ONG, 400 personnes sont mortes aux États-Unis depuis 2001 après un tir de Taser. Sur 234 décès répertoriés entre 2001 et 2008, Amnesty International a eu accès à 98 rapports d’autopsie et, dans 37 cas, les médecins légistes avaient cité cette arme comme la « cause directe ou aggravante des décès ».
Des chiffres que conteste Taser France. D’après un test opéré par le fabricant, cette arme neutralisante réduit de 62 % les blessures des suspects et de 82 % celles des policiers. En France, en revanche, aucune enquête indépendante sur le sujet n’a encore été menée.
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Dans le contexte de manifestations contre le racisme et les violences policières en écho à la mort de George Floyd aux États-Unis, décédé lors son interpellation par un policier blanc, le gouvernement français entend réformer sa police et ses pratiques pour éviter tout risque de bavure.
Mais la généralisation de ce moyen d’interpellation pourrait se heurter rapidement à plusieurs problèmes structurels, rappelle Le Parisien. Parmi eux, la formation : une généralisation du port du Taser par les policiers devra nécessairement passer par une formation accélérée de l’ensemble des effectifs, voire un enseignement du maniement du Taser dès l’école de police - cette arme nécessitant une habilitation supplémentaire de chaque policier qui en est équipé.
Autre difficulté : en l’état, il n’en existe pas assez pour équiper l’ensemble des effectifs. Seulement 15 000 pistolets (à 1 000 € pièce) pour 240 000 policiers et gendarmes. De quoi laisser les syndicats de police « dubitatifs » pour le moment.
Les techniques avancées de rétraction à l’aide d’un pistolet électrique chauffant sont utilisées pour la protection, le regroupement et l’isolation des câbles, des fils électriques et d’autres composants. La rétraction multi-étapes implique l’utilisation de gaines de différentes tailles, superposées en plusieurs couches.
Le pistolet électrique est utilisé pour rétracter individuellement chaque gaine, puis pour consolider l’assemblage en regroupant plusieurs gaines à l’intérieur d’une gaine de taille supérieure. Ce genre de gaine est utilisé pour la bureautique par exemple ou pour supporter des contraintes particulières. Certains pistolets de rétraction sont conçus pour intégrer des connecteurs directement dans la gaine thermorétractable.
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Vous bénéficiez ainsi d’une excellente isolation électrique, réduisant les risques de courts-circuits. La couleur peut également être déterminée en fonction de l’environnement, interne ou externe, ainsi que l’usage spécifique.
PISTOLET PEINTURE électrique haute pression, léger, polyvalent et particulièrement simple à utiliser. En effet, il se branche simplement sur secteur, demeure particulièrement compact et ne pèse que 1.5 kg. La pompe en acier est très résistante pour pulvériser la peinture à très haut débit.
Il peut s'employer pour l'application de peintures, de vernis, de lasures, d'huiles ou de produits de traitement du bois. Il convient à la pulvérisation d'une grande variété de produit à l'eau ou au solvant après un essai préalable. Le réglage facile du débit se réalise grâce à une molette intégrée.
L'utilisation d'un pistolet d’injection électrique pour l'application de joints permet de réduire les gestes répétés pour le compagnon et le risque d’apparition à terme de troubles musculo-squelettiques (TMS) au niveau du canal carpien. Le fabricant Hilti a conçu un pistolet d’injection électrique polyvalent.
Le modèle CD 4-22 autorise l’application de toutes sortes de joints : mastics, silicone, joints pour calfeutrage ou tout autre produit similaire à haute viscosité. Il peut recevoir des cartouches de 310 ml ou 600 ml. Sa batterie interchangeable facilite son utilisation sur tous les chantiers.
Sa poignée ergonomique et sa lampe à LED intégrée permettent d’obtenir plus de confort et une meilleure précision lors du travail dans des espaces restreints. Doté d'une force d’expulsion de 4 900 newton et d'une vitesse pouvant varier de 1 à 10 mm/s à vide, ce pistolet facilite particulièrement la mise en œuvre de produits très visqueux. Il contribue aussi à mieux maîtriser la quantité de produit injectée. La fonction anti-gouttes réduit la perte de produit.
L'utilisation de ce pistolet d'injection électrique diminue les gestes répétitifs (action du doigt sur la gâchette) qui sont rencontrés lors de l’utilisation d’un pistolet à cartouche manuel. En effet, ici un seul appui sur l’interrupteur suffit pour toute la phase d’injection.
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