Hôtel Le Vieux Fusil : Histoire et Charme en Sologne

Alice et Laurent vous accueillent dans leur hôtel-restaurant à la campagne, en Sologne. Leur hôtel, Le Vieux Fusil, est une belle auberge de caractère où la douceur de vivre en Sologne prend tout son sens. Un doux parfum d'antan s'échappe encore de la bâtisse chaleureuse qui abrite de nombreux objets qu'ils ont chinés.

Un Cadre Prestigieux

C'est dans un cadre prestigieux, lové dans un havre de nature harmonieusement boisé et fleuri, qu'Alice et Laurent ont le plaisir de vous accueillir. Proche de Contres, dans un rayon de 30 km, s'épanouissent les prestigieux châteaux de Blois, Chambord, Chaumont, Cheverny, mais aussi le zoo de Beauval et, surtout, pour les amoureux de la nature, des étangs et forêts à perte de vue.

Idéalement situé au cœur des châteaux de la Loire, à Soings-en-Sologne à 20 minutes de Saint-Aignan, Cheverny se trouve à 12 km, Chambord à 20 km, Blois à 18 km et le ZooParc de Beauval est également dans le triangle d'or... C'est à croire qu'ils voulaient être proches du Vieux Fusil.

Hébergement et Confort

Ils vous ouvrent les portes de leurs 8 chambres dans le bâtiment principal au 1er étage et de leur annexe, maison indépendante située dans l'enceinte du jardin avec ses 4 chambres de plain-pied. Hôtel 3 étoiles, en campagne, chambres joliment décorées et toutes différentes.

Votre confort et votre bien-être sont leurs priorités... L'accueil y est très chaleureux et familial. La chambre offre un très bon confort et le calme y règne.

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Une Cuisine Authentique et Gourmande

Côté cuisine, vos instants gourmands prendront place dans le restaurant avec vue sur le jardin ou sur la terrasse aux beaux jours. Restauration sur place, sur le thème de la Sologne d'autrefois.

Si vous avez l'occasion de venir découvrir notre restaurant les week-ends et les jours fériés, c'est en costumes d'époque que nous aurons le plaisir de vous servir dans une ambiance très conviviale où ustensiles de cuisine et linges de nos aïeux pendent joyeusement au dessus de vos têtes...C'est donc à un véritable voyage gustatif dans le temps que nous vous invitons, accompagné du savoir-faire et de la parfaite maîtrise des recettes traditionnelles de notre Chef Ludovic Chantier.

Une cuisine simple, authentique aussi variée que délicieuse. Une carte qui rend un bel hommage au terroir solognot avec ses poissons d'eau douce, d'étang et ses gibiers qui y occupent une place de choix, en saison.

Le personnel très agréable et tout dévoué à sa tâche nous sert vêtu en habits Solognot le week-end. Les menus proposés suggèrent une découverte de recettes locales composés de produits régionaux, c’est copieux et très bon. Le tout enfin dans un décor très cosy où il fait bon y être.

Qu’il est plaisant de pouvoir encore trouver des établissements qui ne tombent pas dans le piège de la déco “tendance” où les couleurs à dominantes noires et grises métamorphoses les belles salles de restaurant en salle d’attente de funérarium. Ici, rien de tout ça. Vous mangez dans un décor atypique et indémodable qui donne à la salle un cachet particulier que vous ne retrouverez pas ailleurs. Le petit déjeuner est copieux et très bon.

En période de chasse, les cuisiniers proposent du perdreau, du cerf ou encore du lièvre. À l’année, les spécialités restent la tête de veau, les guernazelles et les poissons d’étang, avec des approvisionnements en circuit court. « Chez nous, faut que ça mijote. Notre chef de cuisine est un gars du pays. Il travaille avec nous depuis le début. »

Le week-end, dès le vendredi soir, et les jours fériés, toute l’équipe du restaurant accueille les clients en habits d’époque, avec des grands jupons noirs, des tabliers blancs et des coiffes régionales, « rajoutant ainsi un côté festif à l’établissement ».

Formations et Engagement

« En cuisine comme en salle, nous avons des apprentis qui viennent du CFA et des stagiaires du lycée hôtelier de Blois, annonce Alice Lefeuvre. Nous avons à cœur de les former. Ce n’est pas juste de la main-d’œuvre à pas cher. Notre approche n’est pas la même s’il s’agit d’un apprenti qu’on accompagne toute l’année ou d’un stagiaire qui est là pour un ou deux mois. Nous les cocoonons, mais nous ne leur faisons pas pour autant de cadeaux, de façon à ce qu’ils se rendent compte du monde du travail. »

Les gérants de l’hôtel-restaurant cherchent à professionnaliser ces jeunes, et cela passe avant tout par l’obtention du diplôme. « Et quand ils ont leur CAP, nous les poussons à la réussite, à continuer vers un bac pro. Le savoir-être et les valeurs du travail sont la base. À ceux qui souhaiteraient rester chez nous, nous leur répondons d’aller découvrir d’autres choses ailleurs, que le monde est à eux. Ce qui ne les empêchera pas de revenir un jour aux sources s’ils en ont envie. Dans ce domaine, il y aura toujours du travail pour eux. »

Le Vieux Fusil : Plus qu'un Nom, une Histoire

Tourné il y a 50 ans en grande partie en Tarn-et-Garonne, singulièrement à Bruniquel, Le Vieux Fusil a laissé une trace indélébile. 50 ans après, Le Vieux Fusil fume encore.

Si le jugement des cinéphiles, n’a pas toujours été tendre avec les choix de mise en scène de Robert Enrico, on doit reconnaître la force persistante du film, 50 ans après.

Élu « César des Césars » en 1985, 10 ans après sa sortie, Le Vieux Fusil n’a jamais quitté Bruniquel, où son souvenir est entretenu modestement mais sûrement.

Ce film, dont l’avant-première eut lieu en septembre 1975 au cinéma CGR Le Paris, a obtenu 3 Césars à la 1ère cérémonie des Césars en 1976 , César du meilleur film, César du meilleur acteur - Philippe Noiret, César de la meileure musique de François de Roubaix.